Je contemple son corps dénudé alors qu’elle se repose. Elle n’a pas du dormir beaucoup, la pauvre. Entre ses liens qui la maintiennent et le nombre de fois où je l’ai réveillée pour la prendre… Je caresse ses formes et elle gémit dans son sommeil. Mon sexe est déjà dur. Je me rapproche d’elle, le frotte contre ses fesses. Je masse doucement sa poitrine et lui susurre à l’oreille :
« – Alice, ma petite chienne, ton Maître a faim… »
Elle ne réagit pas, grommelle juste un peu. Alors je commence à enfoncer mon gland entre ses fesses. Son corps se tend. Je murmure :
« – Tu aimes ? »
Elle se réveille enfin et dit d’une fois pâteuse :
« – C’est votre queue, Maître, bien sûr que j’aime. »
Je souris et l’embrasse. Je commence à la sodomiser lentement. Cela la déstabilise un peu, je l’avais habitué à moins de douceur. Mais ce matin, j’ai envie de la sentir vraiment jouir sous mes assauts. Alors j’explore son corps, je la lèche, l’embrasse. Je la sens frémir puis gémir. Je caresse son intimité et j’en sens la moiteur. Elle me réclame, me demande plus d’ardeur. Mais je me refrène, la faisant languir. Je jouis trop vite dans son corps. Je me maudis silencieusement de ne pas m’être maîtriser davantage. Mais elle ne s’en tirera pas comme ça : elle va jouir. Je continue à la caresser, libre maintenant de cette pression que m’imposait ma propre jouissance. Elle se tortille dans se liens. J’hésite un instant à lui ôter mais cela a l’air de l’exciter davantage, cette frustration, cette impuissance face à mes caresses. Enfin son corps est saisi de spasmes et elle hurle son plaisir. Je suce son téton dressé en savourant ses cris. Puis elle se calme alors que mes mains continuent à jouer sur son corps. Je la regarde et elle me souris :
« – Merci, Maître, c’était délicieux… »
Je titille distraitement son nombril et dis :
« – La suite sera moins douce… Mais je suis sûr que tu aimeras malgré tout ! »
Son regard pétille quand elle répond :
« – Moi aussi, Maître, moi aussi… »
Je la laisse un peu reprendre ses esprits et nous petit déjeunons au lit. Je la fait manger étant donné qu’elle est toujours attachée. Son délicieux corps m’a déjà refait bandé mais je m’abstiens de la toucher, lui effleurant juste le visage. Enfin je l’embrasse et lui bande les yeux. Puis je la détache. Je l’entraîne à ma suite, je la sens hésitante et accélère le pas. Elle guette les sons. Le bruit d’une porte. Puis un souffle froid sur son corps dénudé. Elle demande :
« – On est dehors ? Je croyais que vous en vouliez pas m’exhiber ? »
Je lui tapotes gentiment les fesses et répond :
« – On ne nous voit pas ici. »
Puis j’ajoute en chuchotant au creux de son oreille :
« – Mais il faudra éviter de crier… Sinon je serais obliger de te bâillonner et cela m’embêterait. »
« – Moi aussi : je ne pourrais plus vous sucer ! »
Je souris :
« – Tu comprends vite… »
Je m’éloigne alors la laissant seule et déboussolée. Elle ressent d’un coup un vif froid : je viens de l’asperger d’eau avec un tuyau d’arrosage. Elle sursaute et recule. Elle se retient de crier puis serre les dents en se remettant en place, se rappelant qu’elle est là pour accomplir mes désirs. Je lui demande alors de se retourner. L’eau coule sur son dos, sa nuque, ses cheveux. Quand j’arrête le jet elle est ruisselante et grelottante. Je demande :
« – Tu veux rentrer ? »
« – Non. Pas sans vous. »
« – Brave pute. »
Je lui enfonce alors le tuyau dans l’anus puis m’éloigne à nouveau. Je baisse l’intensité du jet et attend que le tuyau sorte de lui même. Puis je m’approche d’elle et lui dit de se vider l’anus. Elle s’accroupit et s’exécute, vidant l’eau à grands jets. Je répète l’opération plusieurs fois en augmentant la pression. Puis je range le tuyau et revient vers elle. Je lui doigte l’anus puis lui fait sucer. Je lui murmure :
« – Tu es toute propre et bien lubrifiée. Ca va rentrer tout seul ! »
« – Oh oui ! Enculez-moi, Maître ! »
Je ris :
« – Un peu de patience, ma salope ! »
Je l’entraîne alors à ma suite. Il fait toujours aussi froid mais on ne sent plus le vent. Elle essaie de se remémorer en vain. Je ne lui en laisse d’ailleurs pas le temps. J’attache des draps à ses chevilles. Je lui dis de s’asseoir et je commence à tirer après les avoir passer entre les poutres. Ses jambes se lèvent lentement. Elle ne tient bientôt plus que sur ses mains. Je lui amène alors une chaise et elle prend appui dessus alors que je la monte encore. Enfin je m’arrête, tourne autour d’elle pour juger de l’effet et ôte la chaise. Elle se retrouve suspendue par les chevilles. Je glisse ma main sur son corps. Puis je la doigte. Elle pousse un petit cri. Je passe alors derrière elle et la cravache claque sur son dos. Un cri de surprise lui échappe mais elle se mord les lèvres et se tait lors du claquement suivant. Je descend alors sur ses épaules, puis remonte sur ses cuisses. Je fais ensuite glisser la cravache le long de son corps, la claquant au passage sur ses flancs. Je titille ses tétons avec la boucle, puis je frappe. Je caresse et violente tour à tour ses mamelons gonflés par son désir. La cravache glisse entre ses seins, au creux de son nombril et enfin vient stimuler son clitoris. Elle sait ce qui va venir. Mais je la surprend en caressant mon sexe sur sa joue et en lui demandant d’attraper ma taille et de me sucer. Elle obéit sagement, suçant avidement mon membre. En retour je mêle ma langue à la boucle de la cravache pour lui donner du plaisir. Je lui donne un petit coup de cravache sur la joue. Puis, enfin, je me recule légèrement et inflige à son intimité la punition qu’elle mérite pour être aussi humide alors que je la torture. Alice pousse un cri heureusement étouffé par ma verge. Elle me suce avec encore plus de ferveur, si cela était possible. J’alterne alors les caresses avec de petites tapes et des coups violents. Elle finit par jouir. Je sors alors ma queue. Je la laisse pendante et haletante quelques instants puis détache la fait lentement redescendre. Mais je m’arrête à mi chemin et attache ses poignets avec le drap. Elle se retrouve ainsi suspendu, le dos complétement courbé. Elle grimace de douleur. Je lui appuie alors au creux du dos, lui arrachant un gémissement. Puis je la cravache. Enfin je m’assoie sur elle. Ses os craque, ses bras se tende, menaçant d’être délogé de l’omoplate. Je lui demande alors :
« – Tu sens mes couilles sur ton dos ? »
« – Umm… Oui ! »
« – Ca t’excites ? »
« – Oui ! J’ai envie de vous les lécher avant de sucer votre queue ! »
Je glisse mes doigts dans sa chatte et goûte sa mouille : elle ne mentait pas… Je me relève alors et lui dis :
« – C’est embêtant cette position : on ne peut pas t’enculer. Après tout le mal que je me suis donné pour te laver ! »
Je ne la laisse pas répondre et me dirige vers sa tête en ajoutant :
« – Par contre c’est idéal pour enfoncer sa verge bien profond dans la gorge des petites cochonnes dans ton genre ! »
Je saisis alors sa nuque et joins le geste à la parole :
« – Comme ça ! »
Je lui baise la bouche avec délectation. Un bruit obscène de succion s’élève alors qu’elle bave sur ma queue. Je souris :
« – C’est bien, ma petite truie, je vois que ma bite te mets en appétit ! »
Je jutes alors dans sa gorge en poussant un râle.
Je reste ainsi en suspens, la tête en arrière, les yeux fermés, savourant sa langue qui lèche mon membre, en extrayant le nectar. Je garde mon sexe dans sa bouche et elle comprend que je désire qu’elle me garde dur, que je n’en ai pas fini avec elle. Alors elle s’active, suce, lèche du mieux qu’elle peut. Je ne tarde pas à être à point. Je m’extraie alors et la félicite d’un baiser et d’une petite tape sur la joue. Je la cravache alors un peu, sur les cuisses, le dos, les bras, puis je me place derrière elle et glisse ma hampe dans sa chatte toujours humide. Je lui fait faire un léger mouvement de balancier et parcours le creux de sa colonne vertébrale en la prenant doucement. Je lui demande en massant ses épaules qui doivent certainement être douloureuse :
« – Tu veux que je te sodomise, ma puce ? »
« – Oui. Prend-moi par derrière. »
Je change alors la position de ses liens et elle se retrouve dos vers le sol, cambré à l’extrême. Je caresse ses fesses, doigte son anus. Il est encore un peu humide de notre séance de lavements. Je lui fait sucer. Elle me dit alors :
« – J’ai très envie : enculez-moi, Maître. »
« – On ne donne pas d’ordre à son Maître… »
« – Pardon… Mais j’ai tellement envie ! »
« – Pour la peine… »
Je la cravache de plus belle, insistant sur ses belles fesses bientôt rougies. Enfin je m’arrête et je glisse mon sexe prêt à exploser dans son cul. Nous poussons tous deux un râle de plaisir. Je caresse ses flancs, ses seins, son visage, me penche sur elle pour joindre nos deux lèvres et goûter ses tétons. Puis je lui susurre :
« – Ca vient, je le sens : tu vas en avoir plein le cul. »
« – Oh oui, Maître, remplissez-moi ! »
Elle finit à peine sa phrase que mon sperme coule en elle. Je m’extrais d’elle et lui fais sucer mon sexe pour qu’elle tire encore quelques gouttes. Enfin je pose la cravache sur son ventre et je m’éloignes. Je sens qu’elle voudrais m’interpeller, mais elle n’ose pas. Alors je la laisse seule. Je suis sûr qu’elle doit guetter ma respiration, pensant que je la regarde. Je reviendrais dés que j’aurais envie d’elle. Je songes à son corps et sens l’excitation monter en moi : je crois qu’elle n’aura pas à attendre longtemps. Dommage. Enfin elle ne sait pas que j’ai déjà envie d’elle et je suis sûr que l’angoisse doit monter en elle. Je sens qu’elle sera très docile quand j’irais la chercher…
Proposé par Talis Cat