Flore, sans artifice, à la recherche de son plus intense plaisir

La suite de « Flore, sans interdit, à la recherche de nos plaisirs les plus intenses » où comment Flore ne peut en rien se passer d’une profonde relation physique sans artifice pour atteindre le paroxysme de sa jouissance.

À notre couple,

Flore, sans artifice, à la recherche de son plus intense plaisir. Tout d’abord un grand merci à nos lectrices et lecteurs. Flore et moi sommes très sensibles à vos réactions encourageantes. Je reviens vers vous avec cette suite qui sera plus conventionnelle. Je vous donnerai certains de mes points de vue et précisions sur quelques points qui ont suscité vos réactions. N’y voyez, et j’insiste, aucun côté moralisateur ou donneur de leçons. J’essaye de vous faire partager tout simplement une tranche de vie, la nôtre. Si certaines et/ou certains pensent qu’il est déplacé d’insérer ce genre de réflexions dans un récit mise en ligne sur ce site, elles/ils ont tout à fait le droit de le penser et peuvent passer sans nous lire. Je suis ainsi fait et essaye de faire passer un message très simple : Vouloir que le monde s’aime dans le respect de l’autre et cela passe en premier par le couple. Je vois tant de couples à la dérive, de vies gâchées, de jeunes dans la détresse avec une société qui continue de faire passer les femmes comme des objets sexuels que l’on peut jeter… tout cela me fait mal. Pour sa survie, un couple se doit d’être en harmonie et pour cela il ne doit pas être dans le compromis. S’il en est ainsi l’un des deux se retrouve obligatoirement dans le compromis passif (dominé) et s’il reste toujours dans cette position le couple entame son déclin. C’est cet équilibre qui en est la clé. Je pense que vous avez bien compris que l’échange sexuel au sein de notre couple vaut tous les jours une émission à la télé. En agissant ainsi nous réussissons, j’en suis sûr, à avoir une vie riche en nous appliquant nos quelques mots clés : Respect, confiance, harmonie, offrir/donner, s’offrir/recevoir, étonner, inventer, diversifier…

La relation à l’argent : Oui actuellement nous vivons correctement mais il n’en a pas été toujours ainsi. Nous avons été jeunes sans trop d’argent bien avant et cela ne changeait ni nos désirs ni nos actes. Nous avions vite compris que la télé était bien souvent synonyme de poubelle et c’est là qu’elle a fini… Nous avions mieux à faire. Nos jeux la remplaçaient sans problème : Nous passions et passons beaucoup de moment ensemble. Le fait de nous parler, d’échanger et de nous unir régulièrement et le plus souvent possible valait et vaut toutes les thérapies du monde.
Je persiste à dire qu’en tant qu’homme, la jouissance hors vagin reste et restera la plus intense, la plus violente surtout sous les artifices employés par Flore pour me témoigner tant de reconnaissance.

En revanche pour Flore, rien ne peut remplacer ma présence en elle. Elle sait que de se donner lorsque j’emploie nos jouets sexuels décuple mon envie de jouir si intensément. Cela la transporte elle aussi et heureusement elle en retire d’immenses douceurs. Étant à son écoute, je m’emploie, par infinie reconnaissance et désir de lui plaire, à tout faire pour apporter à Flore son ultime délivrance, son extrême béatitude. C’est en cela que la femme est différente de l’homme. À mon sens, la femme a bien plus besoin de tendresse, de caresses, en un mot d’Amour que les hommes pour arriver au paroxysme de leur jouissance. Je peux me tromper mais à travers cette réflexion je voudrais ouvrir une sorte de discussion sur ce sujet. Je ne sais si vous lectrices et/ou lecteurs, répondrez à cet appel.

Je suis sûr que Flore ayant des relations avec surtout deux de ses trois amies, Claire son initiatrice et Émeline, a ressenti beaucoup de tendresse et pris énormément de délectation dans ces pratiques. Je connais pas mal de filles, y compris dans mon travail, qui ont eu des expériences féminines. Par contre, je connais très peu d’hommes qui ont eu des rapports avec d’autres hommes lorsqu’ils sont hétéro. Je suis de ceux-là, comme je vous l’ai dit précédemment. Ne vous méprenez pas sur mes propos. Je connais quelques androgames qui sont d’excellents amis. Ayant un très grand respect des individus en général, je respecte profondément les personnes et de voir le comportement de certains face à cela me choque et me met en colère. Toutes relations librement consenties ne sont que saines relations !

Dire que nous passons, Flore et moi, toujours notre temps dans les jeux que vous connaissez est heureusement faux. Non, nous alternons nos expériences avec des relations strictement conventionnelles et comme je vous le dis c’est surtout parce que je sais que Flore en tire une très grande jouissance et ce serait égoïste de ma part de lui refuser son sublime cadeau, ma manière de lui témoigner tout mon Amour car il en est toujours ainsi après un bon nombre d’années de vie commune. Je vous ai assez ennuyé et donc revenons au récit.

Je vais, aujourd’hui, vous conter trois situations qui ont comblé Flore la rendant folle de bonheur.

Lire le chapitre précédent.

Histoire 1
Nous voyageons au moins une ou deux fois par an en avion. Nous essayons toujours d’être dans une rangée où se trouvent deux sièges, ce qui devient de plus en plus difficile avec les gros avions genre 777 ou A380, mais vers la queue cela existe encore. Sur des vols de quatre heures et plus nous avons eu souvent la chance d’avoir le temps et le loisir de réussir à faire l’amour. Lorsque Flore voyage avec moi, elle est toujours en robe ou jupe évasée. Elle sait que je l’adore ainsi habillée et elle se sent bien plus libre. Seule, elle est en pantalon et corsage. Lorsque je la vois poser sa tête sur mon épaule en ayant étendu sur nos jambes les couvertures, je devine ses coquines intensions. Lovée ainsi, Flore a dû ôter sa petite culotte et dégrafer son soutien-gorge. Je n’ai juste qu’à passer une main sous la couverture pour m’en assurer. Le gros problème pour Flore est que, mouillant énormément de cyprine, il va falloir que je fasse attention à ce qu’elle n’inonde pas son siège et ses vêtements. Des mouchoirs en papier sont toujours dans nos poches et feront une nouvelle fois l’affaire. Je m’applique à les placer au bon endroit et Flore sentant cela commence à s’ouvrir. Je le sens car d’imperceptibles tressaillements commencent à la parcourir. Je préfère lorsqu’elle est à ma droite, ma main gauche peut alors s’occuper de son minou et ma main droite de ses seins. Flore sait qu’elle va passer un long moment dans des prémices qui, nous l’espérons, se termineront en apothéose si le personnel de bord nous en laisse le loisir ! À nous de rester très discrets !

Ma main droite libère ses seins de leur carcan et le gauche, le plus près de moi, emplit ma main de sa rondeur. L’index de ma main gauche reste au chaud, sage et tranquille, dans sa petite fente attendant qu’elle manifeste ses émotions. Ma main droite entame son travail d’affolement. Je pétris délicatement cette rondeur qui m’est offerte, glissant sur cette peau douce, dévalant vers sa gorge profonde, remontant sur l’autre pour ne pas en rendre un plus jaloux que l’autre. Flore a atteint et pétri ma verge. Je l’arrête. Elle restera immobile juste en le pressant par réflexe au rythme de ses émois. Après un petit moment de ce jeu, je m’attarde sur l’un de ses petits mamelons qui déjà darde en ressentant tant d’attention. Je connais bien, depuis le temps, les zones les plus érogènes de Flore et m’applique à les caresser. J’ai toujours en tête de me faire désirer le plus possible. Je suis toujours très attentif aux émois de Flore. Je dessine de gentils petits ronds sur chaque aréole toute pigmentée de désir et inexorablement vais agacer leur pic durci. Flore dans le creux de mon épaule ondule sa tête très légèrement. Il y a du monde autour de nous et elle saura rester discrète. Flore est une femme non extravagante et cela fait son charme. Ses petits mamelons roulent entre mes deux doigts. Je viens de sentir sur mon autre doigt une première contraction de sa vulve. Je quitte son nid douillet et laisse glisser ma main sur ses cuisses chaudes. Elle les a légèrement écartées et ainsi mon pouce et mon auriculaire peuvent simultanément toucher aux deux allant de ses genoux à son puits convoité. J’arrive à remonter sur son ventre, à contourner sa corolle l’effleurant sans plus. Ma main droite continue de malaxer, de comprimer ses deux pommes.

Sa tête s’est implacablement tournée vers moi et nos bouches peuvent s’embrasser, nos langues tournent à l’unisson dans un sens ou dans l’autre. Je sens la chaleur de son haleine, sa respiration devient un peu plus audible. Le bruit de l’avion est notre meilleur allié. Ma main gauche, sous la couverture, s’approche de plus en plus du mont de Vénus tel un papillon voulant butiner le nectar que je sens au bout de mes doigts. Flore monte doucement en tension et j’ai tout mon temps pour alimenter ce brasier qui s’enflammera tôt ou tard. Elle devient de plus en plus humide et je dois m’employer à éponger cela si nous ne voulons pas avoir de catastrophe sur ces vêtements. Entre mon pouce et mon index, je pince délicatement son petit bonbon rose et elle contracte ses muscles pelviens m’appelant en elle. Je me dis qu’il faut que je l’entraîne vers son infini désir car nous devrons pouvoir conclure ensemble dans les toilettes de l’avion si nous attendons un moment propice : celui où les voyageurs se reposent et dorment. Mon index glisse sans difficulté dans sa fente entrouverte. Flore essaye de se retenir afin de ne pas trop se donner pour ne pas se faire remarquer. Je suis dans son antre et mon majeur pénètre à son tour. Mais deux doigts liment tendrement. Flore se colle un peu plus à ma bouche pour atténuer sa respiration qui augmente. Je la sens venir. Je sais, par expérience, qu’elle ne jouit pas profondément tant que je ne l’aurai pas enfilé sur mon sexe turgescent. Je tourne mes doigts dans le vagin de Flore afin que mon auriculaire puisse faire de douces pressions sur son petit bourgeon. Flore respire de plus en plus fort. Ses seins se durcissent et sa poitrine se soulève accompagnant mes va et vient. Elle est au bord d’une jouissance clitoridienne. Elle se raidit, me serre fortement la langue pour se contenir. Elle expire longuement et de petites contractions de sa vulve sur mes doigts me disent qu’elle jouit silencieuse dans de discrètes divines ondulations. Elle reste immobile un petit moment dégustant ce moment de bonheur tout en ayant un sentiment d’insatisfaction. Elle se retire de mes doigts, nos bouches se quittent. Il n’y a personne en vue alors je m’éclipse dans les toilettes à l’arrière espérant que Flore pourra m’y rejoindre. Parfois elle n’y réussit pas. Je n’attends pas trop longtemps et notre code tapoté sur la porte m’indique qu’elle veut entrer. J’ouvre. Flore referme la porte et se pend à mon cou pour reprendre ses voluptueux baisers. Ce faisant, elle s’installe sur le lavabo, jambes complètement écartées m’offrant son plus beau des cadeaux. Je la pénètre sans attendre et elle m’enserre très fortement pour mieux me sentir, remontant le plus possible ses immenses jambes. Je lui caresse ses deux globes les malaxant, les pinçant sans retenu. De délicieux coups de reins la transporte dans un monde de jouissance et en cadence elle me répond gentiment. Je la sens me tenir fermement en elle comme si elle ne voulait pas que je fuis. Dans cette petite cabine, un long soupir lui échappe et, dans d’ultimes violents coups de rein, Flore explose de bonheur. Je la suis et gicle trois ou quatre fois en elle lui extirpant un nouveau soupir. Flore a goûté à sa profonde jouissance et elle m’embrasse goulument comme pour me remercier de l’avoir transportée dans son avion tourbillonnant. Nous nous désaccouplons. Flore s’essuie avec les serviettes humides qu’elle a pensé à apporter. J’essuie aussi ma queue couverte de ses fils amants laiteux. Un dernier baiser et nous ressortons. C’est pour cela que nous aimons la queue de l’avion. Personne, à mon avis, ne s’est aperçu de notre escapade. Une fois, lors d’un précédent voyage, une superbe hôtesse eurasienne était arrivée au moment où nous ressortions. Elle nous avait souri malicieusement et alors que nous lui rendions son sourire :
– Un petit rendez-vous coquin ? Vous formez un beau couple…
– Merci ! Vous êtes vous-même une très belle femme !
– C’est gentil ! Voulez-vous un rafraîchissement ?
– Ce ne sera pas de refus !
– Je vous sers ?
– Un gin tonique s’il vous plait ! Toi, Flore ?
– Même chose ! Merci ! Vous êtes vraiment très aimable.
– Cela fait plaisir !

Attendant d’être servis, Flore me sourit heureuse de ce merveilleux dénouement. En nous occupant ainsi, le voyage nous parait bien moins long. Revenus à nos places, Flore repose sa tête sur mon épaule et avant de lui reprendre un de ses mamelons et de remettre un doigt dans sa petite fente, nous sirotons paisiblement nos gins toniques. Ensuite, nous avons piqué un petit somme toujours mêlés, nous réveillant juste pour la petite collation. Tous deux, nous nous étions offerts notre collation suprême !

Quelques mots sur notre couple (Sautez ce paragraphe si vous pensez qu’il est déplacé !)
Commençons par moi : c’est plus simple et rapide. À ma connaissance, je n’ai pas d’interdit, de répulsion et j’aime tout lorsque nous faisons l’amour avec quelques préférences que vous devinez dans mes récits. Je ne tire aucune jouissance lorsqu’elle me sodomise avec l’un de ses godes. Si vous vous rappelez, ce n’est qu’une condition pour qu’elle me laisse jouer avec son orifice. Par contre lorsqu’elle m’enfile avec le stimulateur prostatique je dois dire que cela a un effet certain mais sans plus. Cela l’amuse et elle tire certainement du plaisir à faire cela : une sorte de domination me rappelant qu’il n’y a pas qu’elle qui se fait enfiler. À sa manière, elle me pénètre et cela la réjouit.

Flore, à mon avis, comme beaucoup de femmes, a un fonctionnement bien plus complexe. Elle a deux jouissances distinctes et non comparables. La clitoridienne, s’apparentant à un jeu comme un autre, la laissera sur sa faim. D’ailleurs, montre en main, avec son petit vibrateur, elle ne met qu’une minute pour faire naître un filet de cyprine et que quatre minutes pour jouir de son petit bourgeon. La vaginale est la seule capable de l’apaiser véritablement. Pour qu’elle jouisse profondément, elle a besoin d’attentions psychologiques et physiques. Elle y arrive seule avec ses propres artifices, ses propres jouets mais je sais que, de loin, elle me préfère à ses gadgets : Tant mieux pour moi ! Je me dois donc de l’aider, de l’accompagner dans cette quête, de lui démontrer qu’elle est et restera tout pour moi. Elle n’aime pas que je l’introduise de mes doigts durant l’acte qui la conduit à sa jouissance vaginale. Elle ne prend aucun plaisir lorsque j’enfile son petit trou. Surtout je ne l’enfile jamais à sec ayant toujours à portée de main un tube de gel lubrifiant à base d’eau. Elle le fait pour me faire plaisir sachant qu’en effet, pour moi, lorsqu’elle synchronise bien le serrement de son sphincter avec mon éjaculation, je serai tenter de dire que c’est la plus puissante de toutes les jouissances. Flore et moi avons appris jeunes à contrôler nos périnées et son plancher pelvien. Je jouais avec Flore à lui placer le goulot d’une bouteille d’orangina dans le vagin et lui demandait de tout faire pour m’empêcher de la ressortir. Adultes, nous avons fait la même chose avec des boules de geisha et je dois dire que Flore en anal et vaginal sait très bien les retenir. Inutile de vous dire que je bénéficie de sa technique lorsqu’elle décide de me serrer décuplant ainsi ma jouissance.
Elle déteste que je joue avec ses deux trous. Il n’y a que dans les films porno que l’on assiste à cela. D’ailleurs ils se douchent et se font des lavements pour ces scènes avec des plans sécants. Alors ne rêvons pas ! C’est comme pourquoi jouir en dehors ! à tous bouts de champ. Mais regarder un bon, il y en a, film porno à deux (ou seul) ne peut pas faire de mal à personne, ce peut être aussi un bon tremplin pour une bonne partie.
Flore n’aime pas le goût de mon sperme alors j’évite de lui jouir dans la bouche et préfère le faire sur sa généreuse poitrine ou ailleurs. Elle saura ne pas être ingrate en l’étalant ce qui aura un effet bien plus bandant à mes yeux.
Elle n’aime pas être prise par derrière et nous sommes d’accord tous les deux. Je préfère la voir se démener pour venir.
Avec cela vous connaissez un peu mieux Flore et je ne pense pas qu’elle soit la seule ainsi !

Pour finir, nous vous devons la vérité car nous ne vivons pas dans le mensonge, c’est une question d’honnêteté et de respect : Nous glissons rapidement mais sûrement vers nos 70 ans et, bien-sûr, nous avons le privilège de ne plus travailler, qu’en sera-t-il dans quelques années avec tous ces porcs qui s’enrichissent à ne rien faire et qui pourraient payer pour que le monde jouisse d’une retraite paisible. Je vous arrête. Aucune nostalgie, aucune amertume, le passé laisse de merveilleux souvenirs. Notre sexualité est loin d’être morte, elle ne change que dans nos conclusions qui sont moins performantes mais les prémices et jeux sont toujours aussi explosifs. Je me demande si je ne vais pas dans une prochaine suite vous en parler. Tout est bon dans le cochon !. Bien sûr plus de giclées battant le record du monde, moins de volume (C’est en moyenne, mais, à 60 ans le sperme se reforme en petite quantité tous les 24h – à 70 ans tous les trois jours….), des difficultés pour moi à garder l’érection (merveilleuses petites pilules mais nous avons aussi encore quel-qu’autres artifices). Flore et moi arrivons parfois à doubler. Non, c’est la vie avec un grand V. Nous sommes de la génération 1968-70 qui a vu une belle libération sexuelle et nous en sommes vraiment les enfants. Nous ne sommes pas croyants et pensons vraiment que les religions, toutes, sont les plus grands fléaux du monde véhiculant pratiquement que des interdits, n’ayant été et étant toujours sources de conflits. Le deuxième fléau de ce monde, les quelques grandes fortunes qui nous dirigent se fichant bien de nous et de notre belle planète terre laissant crever de faim des millions de personnes. Ce n’est pas de moi mais c’est tellement vrai : La terre n’est pas un don de nos parents, ce sont nos enfants qui nous la prêtent ! Un monde qui crée de la pauvreté est un monde en déclin. Flore et moi avons à notre manière fait notre propre petit monde étant conscient de celui qui nous entoure. Pas beaucoup de jours où nous n’avons pas soit ensemble soit seul recherché notre plaisir. La masturbation ne rend pas sourd… Comment ?… Je plaisante. Tous deux nous avons goûté à nos délices dès nos premiers émois tachant nos pyjamas très jeunes au grand dam de nos parents qui je dois dire avaient une très grande ouverture d’esprit. Les récits que vous lisez ont été « remastérisés », replacés au temps présent mais ils ne sont pas dénaturés et restent un témoignage de notre vie, qui, nous vous rassurons et nous espérons, n’est pas terminée. Nous nous assumons toujours avec la même vigueur et les mêmes efforts pour nous séduire. Nos jeux, nos objets nous comblent toujours. Il n’y a que notre aboutissement, la conclusion qui change avec le temps. Nos intentions et nos échanges sont aussi fortes. Nous sommes fiers et heureux de notre vie et avons essayé de vous communiquer notre passion.Vous connaissez notre premier rêve qui, nous pensons, ne pourra pas hélas se réaliser. Voici notre deuxième rêve : mourir enlacer dans l’acte d’Amour, le plus tard possible en santé et lucide… Partagez notre adage : « S’enlacer ! Comment s’en lasser ! »
Un mot rapide pour les jeunes : vivez dans le respect de l’autre… Ce qui est librement consenti n’est que pur bonheur, alors ne vous interdisez rien ! Attention à vous, protégez-vous, hélas vous n’êtes plus à notre époque ! Un pétard de temps à autre n’a jamais fait de mal à personne; si vous en restez là ! Refusez de vous détruire tout en réfléchissant à qui peut bien avoir tout intérêt à vous pousser à le faire !

En musique, nous pouvons passer de Sarah Brightman (Fleurs du Mal) à du métal avec la beauté de leurs intros, entre autre, celles de certains groupes japonnais. Nous écoutons Metallica (One), Ozzy Orsbourne, Hammerfall (Any Means Necessary), Rammstein (Stein um Stein – Asche Zu Ashe Engel (superbe vidéo final live London 2010 – Du Riechst so gut (Vous sentez si bon)), Alice Cooper, Iron Man, Epica (The Phantom Agony – Seif al Din), Tarja Turunen (Enough), Annette Olzon, Nightwish (Bye Bye Beautiful – Amaranth – The Poet and the Pendulum (10 mn de bonheur) etc… Et leurs vidéos passent parfois en boucle sur notre cinéma maison ou écran d’ordi. Écoutez ces groupes jouer avec des orchestres philharmoniques et vous nous en direz des nouvelles… Je pourrais vous entretenir des nuits entières en musique. Ce n’est pas parce qu’on écoute ce genre que l’on ne peut pas être romantique ! En voiture CD et Live en vidéo incontournable. De plus toutes les beautés ci-dessus ont (avaient !) avec Flore des points communs.
Dans ce monde de plus en plus virtuel où d’un coup de souris tout s’efface, la relation entre les êtres qui écrivent et/ou lisent/composent existent. Il en est de même dans un couple. La relation est primordiale : l’échange d’informations est la seule chose qui doit exister. Si elle est synonyme de franchise, de vérité, sans vice vous renforcerez votre complicité. Notre doctrine philosophique : L’hédonisme.

Histoire 2
De temps à autre, c’est Flore qui prend l’initiative de me réveiller assez tôt le matin. Elle sait y faire. C’est tellement délicieux. Elle dort toujours à ma droite. De sa main droite, elle dispose ses cinq doigts autour de mon gland prêt de mon méat tout encore endormi et doucement elle glisse le long de ma hampe repoussant mon prépuce jusqu’à la garde en serrant assez fort, réveillant tous mes sens. En un rien de temps, il se redresse tout dur. Elle me fait cogner contre la paume de sa main et le fera jusqu’à temps que je mouille. Elle calque ses pressions avec les contractions de mon périnée qui envahissent mon dard. Elle vient de me réveiller d’une façon merveilleuse ! Je devine qu’elle a une envie folle de me sentir en elle. C’est sa façon, de me faire plaisir en me provoquant. C’est elle qui orchestrera et je n’aurai qu’à me laisser bercer à mon plus grand bonheur. De sa main gauche, elle se caresse. Son index passe de sa petite bille à ses petites lèvres, les écartant avant de plonger dans son lac encore calme. Elle me tient fermement sur toute la longueur de mon fourreau, m’astiquant pour me faire briller de tous les feux de l’Amour. Je continue mes petits spasmes qui accompagnent ses douces pressions et caresses. Je suis toujours en attente. Je ne bouge pas. Flore a maintenant posé sa tête sur ma poitrine. Je sens la pointe d’un mamelon bien dur sur le côté de mon corps. Je suis sûr qu’elle a les yeux ouverts afin de ne rien perdre de la scène. Sa tête continue de descendre sur mon ventre en direction de mon sucre d’orge, elle lèche ma peau lui donnant la chaire de poule. Elle attend tout simplement que je perle de ce liquide transparent au goût salé. Elle adore le déguster ou l’étaler sur mon gland. C’est un liquide d’une grande viscosité. Pratiquement avant chaque montée en tension, depuis qu’elle m’a fait connaître les joies des sondes urétrales, je perle de quelques gouttes de ce précieux liquide qui me lubrifie le canal permettant à ma sève de jaillir avec plus de vigueur et douceur. Elle s’est approchée et doit voir cette humidité car moi je ne le sens jamais perler. Elle ne va pas tarder à le déguster. Je commence à sentir son souffle sur mon gland. Elle tend sa langue raidie, lovée en rond vers mon méat. Un spasme plus fort parcourt mon être. Elle tapote sur ce dernier. Ses lèvres ne vont pas tarder à m’engloutir goulument pour me suçoter. Je suis dans la bouche de Flore qui consomme sa friandise. Un violent spasme m’échappe et parcourt tout mon être. Elle continue sa reptation et passe sa jambe gauche par dessus mon buste, elle est à genou sur moi et là je vois toute la beauté de son intimité qui flotte tel un nuage au-dessus de ma tête. Ses deux pomelos bien fermes ondulent dans une légère cadence, battant mon ventre de leur branle. Elle est osée ce matin. Elle recule et lentement descend sa vulve sur mon nez en la faisant vibrer. Je respire par la bouche. Je sens son amour. Je suis énorme entre ses mains. Flore a décidé de sa position en 69. Je n’ai plus qu’à me réveiller, à mettre un terme à ma passivité, à tant d’ingratitude. Je prends Flore par ses deux hanches et commence à faire aller et venir cette ravissante vulve si bien dessinée sur ma langue toute durcie afin qu’elle puisse mieux me sentir. La rosée du matin emplit ma bouche et je la bois voluptueusement. Pour ma plus grande joie, Flore est une vraie source de nectar. J’accélère les mouvements de son bassin pendant qu’elle me procure de violentes sensations s’occupant à merveille de mon mat de cocagne. Je m’emploie à essayer de lui arracher des spasmes de plus en plus violents. Quelques minutes passent et Flore, n’y tenant plus, me tenant toujours fermement inverse sa position. Je vois maintenant son visage illuminé paré de son magnifique sourire mutin et, tout en délicatesse, elle vient glisser au fond de son intimité mon flambeau tout allumé de désirs. Flore est assise sur moi. J’ai devant les yeux un tableau d’une rare beauté. Tout est en place, si bien dessiné : sa petite bille parée de son divin capuchon, ses lèvres fragiles et si bien découpées disposées de chaque coté de ma hampe, la nimbant d’un véritable écrin de pourpre. J’empoigne ses fesses afin de les pétrir et de lui imprimer une lente cadence qui ira en s’accentuant au fur et à mesure de son envie. Il y a longtemps que j’avais compris que si je jouissais avant son extase j’en diminuais sa violence et même pouvais lui couper son envie. Je sais me calquer et la ressentir guettant sur son visage le moindre signe annonciateur. Je ne laisse qu’une main agir et l’autre remonte vers sa poitrine, s’arrêtant un instant pour jouer avec son nombril. Flore se tord de plaisir de plus en plus. Sa tête part de droite à gauche, d’en avant en arrière. Ses yeux sont clos. Elle est entrée dans sa bulle à la recherche de sa récompense bien méritée. Je la tiens toujours fermement d’une main, l’autre quittant son aréole se glisse malicieusement dans sa vulve toute baignée. Parfois Flore ressort car elle ne me sent plus assez, sa cyprine étant trop abondante. Lorsqu’il en est ainsi je m’essuie rapidement et elle me replonge dans ses entrailles. Nous nous connaissons bien et avons nos codes. J’effleure son mon de Vénus, ce qui la fait tressaillir un peu plus. La tête de Flore est venue me rejoindre, nos bouches se collent et nos langues se mélangent dans un suave ballet sans fin. Je ressens le poids et la douceur de ses seins sur ma poitrine. Mon épée guerroie vaillamment en elle. Je suis son destrier, elle mon écuyère. Je sens monter mon désir d’en finir. Les soubresauts parcourant son corps et le rythme de sa respiration m’indique que son extase ne va pas tarder. Mon doigt a quitté sa corolle et se pose sur sa rosette imprimant de petites pressions ou effleurant ses replis. Flore n’aime pas que je l’introduise, cela a tendance à aussi lui couper son envie. Je ne fais donc que de petits massages caressant ce petit orifice et cela suffit à lui amplifier son bonheur, rien de plus simple. Elle ne mélange pas les genres dans ses différentes manières de rechercher son plaisir. Flore m’indique qu’elle veut rouler pour se placer sous moi. Me reposant sur un bras, je me donne plus de latitude pour mes mouvements. De ma main libre, je continue d’affoler son corps, virevoltant d’un point à un autre, la surprenant ne m’attendant pas à cette endroit. Ce petit jeu dure un petit moment l’entrainant à frissonner, à se raidir de plus en plus. Sentant ma queue glisser trop facilement je ressors à nouveau pour m’assécher et reprends de plus belles mes va et vient. Flore me serre toujours plus fortement. Je suis au bord du gouffre prêt à me noyer d’ivresse profonde. J’accentue mes coups de reins. Son corps ondule du désir d’en finir, sa respiration entrecoupée de doux gémissements m’indique un proche dénouement. Je redouble d’ardeur, remets un doigt sur sa rosace, la comprimant. Un long soupir accompagnant un violent spasme met Flore en vibration. De délicieuses contractions de sa voute pelvienne arrive sur ma lance. Son petit trou s’est ouvert puis refermé tel un appareil photo prenant un cliché d’une infini pureté : la beauté de Flore dans toute sa splendide nudité. Dans une délicieuse agonie, « Amouurrrrrrrrrr, ôooooooo » à mon tour j’explose, trois longues giclées heurtent les parois de son merveilleux nid éteignant l’incendie qui me ravage. Nous avons pratiquement joui simultanément. Je ressens encore les tressaillements de son corps. Elle a toujours les yeux fermés, se délectant de ce moment irremplaçable. Sa respiration se stabilisant elle finit par les ouvrir. Elle me sourit toujours heureuse de réussir et pour elle et pour nous. Nous restons collés pour échanger un fougueux et long baiser tout en nous caressant amoureusement au gré de nos envies. Je suis toujours en elle dur. Je comprends vite que ce matin Flore va en redemander. Je reprends mes doux petits coups de rein et Flore y répond aussitôt. Elle referme ses yeux et elle repart dans son univers infini tournoyant dans ses galaxies à la recherche du trou noir qui l’emportera dans son extrême ivresse du bonheur. Cela ne prit pas de temps que Flore à nouveau jouit en de douces cascades. Voir ainsi Flore me procure une grande fierté et je n’ai pas de grands efforts à prodiguer pour l’inonder à nouveau tant je suis heureux d’avoir cette femme tous les jours à mes côtés. Depuis qu’elle a eu de légères mais bénéfiques éjaculations par son urètre, je pense, mais ne peux en être certain, qu’elle continue d’en avoir. Beaucoup de femmes en ont de petites sans le savoir au moment de leur jouissance. C’est assez difficile de les discerner. L’ensemble de toutes ces liqueurs se mélangent en un véritable cocktail d’Amour. Tout cela uniquement au plus secret de son intimité, chanceuse qu’elle est !. Flore me dit qu’elle semble ressentir une douce satisfaction un peu plus intense que par le passé. Je suis bien heureux d’avoir réussi à lui accorder ce petit plus, en lui faisant découvrir cette nouveauté de son corps, juste parce qu’elle m’a autorisé un jour à jouer avec une petite sonde urétrale me laissant l’introduire dans son canal si intime.

Quelques mots sur les amies de Flore
Chaque mois, le samedi soir, Flore et ses trois amies font une soirée pyjama ou cinéma ou restau. Je ne la revois que le lendemain dans l’après-midi. De temps en temps, l’amie de Claire est aussi de la partie. Cette amie est veuve avec deux enfants, ce qui comble Claire lui permettant d’élever avec elle ces deux enfants. Vous connaissez Émeline et Maéva. Dans sa vie, Claire nous a dit qu’elle n’avait eu qu’une seule relation avec un homme et qu’elle n’avait pas du tout appréciée. Il est inutile de vous dire que sous son initiative, les filles ne se privent nullement de jouer sexuellement ensemble, se mélangeant de toutes les manières possibles ou expérimentant toutes nouveautés. Flore revient à la maison dans un état d’épuisement qui me dit que toutes doivent bien se donner. Je ne vais surtout pas la priver d’une telle saine activité ! Comme je dis en riant à mon copain et ami de Maéva ainsi qu’aux filles : « Quand va-t-on être invités ? ». Je ne vous dis pas leurs réponses, il vaut mieux !

Histoire 3
Un vendredi, je devais prendre Flore à la sortie de mon travail pour aller à la campagne à un mariage. Nous devions aller coucher à l’hôtel pas très loin du lieu afin de ne pas avoir de route à faire le samedi, jour de la cérémonie. Flore ne travaillait pas durant cette longue fin de semaine.
Elle avait eu tout le temps de se préparer. Je l’avais laissée dormir en faisant tout pour ne pas la réveiller et m’étais éclipsé sans bruit. Mais, ce jour là, je ne sais pas qu’elle mouche l’avait piquée. J’étais à peine arrivé dans ma salle info. que mon BlackBerry vibrait dans la poche de ma veste. Je prenais le cellulaire et qu’elle ne fut pas ma surprise ! Flore m’envoyait une photo d’elle toute nue allongée sur le lit un doigt dans sa chatte et l’autre dans sa bouche. Elle était si désirable ainsi. Je me disais : « Quelle coquine ! ». Vous me croirez si vous voulez, j’ai reçu ce jour-là une dizaine de ses photos toutes plus invitantes. Je n’ai pratiquement rien fait ce jour là. Flore à distance ne faisait que me chauffer et elle y réussissait. En début d’après midi, j’ai même dû aller faire pleurer de joie mon pieu qui, en voyant une superbe photo de sa vulve béante avec un petit filet de cyprine, ne pouvait résister. Je reconnaissais son petit vibro à clito et la bague à son doigt. Elle m’en envoya lorsqu’elle était sous sa douche, une autre en petite culotte de dentelle légèrement penchée en avant laissant tomber ses jolis seins qui s’allongeaient, sous leur propre poids, formant deux magnifiques ogives : « Quelles bombes ! », une de sa croupe toute rebondie laissant deviner ses petites lèvres entrouvertes dans le sillage de son entrecuisse, une de son gode enduit de fils amants blancs qui témoignaient qu’elle se l’était enfilé au plus profond de son intimité… Vous comprendrez que ce jour là je n’avais qu’une envie la rejoindre. Il était inutile que j’essaye de travailler. Elle avait ruiné tous mes efforts de concentration et avait réussi à occuper toutes mes pensées. Je quittais d’ailleurs bien avant l’heure trop excité à l’idée de lui faire payer cette délicieuse audace.

Tout en conduisant, je « philosophais » sur un certain nombre de sujet.
– Je me disais que j’avais beaucoup de chance d’avoir connu très jeune cette femme, toujours capable après tant d’année d’être toujours étonnante comme la fois où, pour tirer les rois, elle avait préparé un gâteau. Dans ce dernier, elle avait placé en guise de fève une capsule remplie de sa cyprine toute fraîche et, bien sûr, s’était arrangée pour que ce soit moi qui tombe dessus. Quelle délicate attention elle avait eu à mon intention en réalisant cela ! Elle trouvait toujours des nouveautés. À croire qu’elle les notait dans un coin secret pour ne pas les oublier aux moments opportuns ! Je pense que les femmes sont bien plus créatrices que nous, peut-être parce que nous avons de très grandes chances de toujours réussir et ainsi nous ne nous posons pas tant de questions.
– Je m’interrogeais aussi sur le pourquoi qui avait bien pu la conduire à agir ainsi aujourd’hui.. Cela correspondait à une des périodes de son cycle où elle se révélait être mille fois plus amoureuses que les autres jours. Son cycle, parlons en ! Comme toutes les femmes, elle a ses périodes. Mais pensez-vous qu’elle s’interdit, à ce moment là, son plus grand plaisir ? Non ! Bien au contraire ! Elle met des draps foncés. Des serviettes foncées sont toujours à portée de main; tant qu’à faire de couleur rouge ! Surtout pas de serviettes aux tons pastels, on n’égorge pas la bête… Cela serait de TRÈS mauvais goût. Elle me dit que bien souvent elle arrive à calmer ses céphalées en faisant l’amour durant ces périodes. Souvent elle a de la peine à venir car elle ne me sent plus, noyé que je suis dans son flux. Il n’y a rien de sale. Ce n’est que la nature et son sang. Il n’y a rien de mal puisque c’est sa volonté. J’ai toujours à cette occasion la classe de ne rien lui demander. C’est elle qui va venir vers moi ou qui va m’allumer. Nous n’avons aucun problème avec cela. Donc, ayant du mal à la faire venir, ne me sentant plus, elle me laisse jouir dans sa mer rouge me baignant de bonheur. Je me retire, m’essuyant avec les serviettes. Puis je prends son gode gonflant et vibrant et, ainsi, je peux lui faire sentir une ferme présence au creux de son antre, ce qui l’amène à son paroxysme. Souvent, en remerciement, elle m’offre son autre petit trou que je n’oublie jamais de lubrifier. Ce dernier, je peux vous le certifier, je suis le seul à qui elle a la gentillesse de le confier.

Enfin j’arrivais à la maison. Je me garais un peu avant afin de ne pas faire de bruit pour la surprendre.
J’ouvrais la porte avec ma clé et tout doucement avançais vers le salon. Je ne voulais surtout pas lui faire peur, ce qui aurait été idiot de ma part pour la suite des événements. Elle était à regarder un catalogue de dessous féminins assise légèrement allongée sur le divan. Elle avait les seins à l’air toujours aussi superbes et avait gardé sa petite culotte. Elle était vraiment provocante, insouciante. Elle ne m’avait pas entendu entrer. Par l’entrebâillement de la porte je l’apercevais. Je sortais mon cellulaire, zoomais pour la prendre rapidement en photo et la lui envoyais. Elle recevait le message et, consultant son cel., elle se figea tout net ne comprenant pas trop surprise mais réalisant de suite en souriant :
– Chéri tu es là. Je le sais.

Tu es là ?

Je lui répondis en chuchotant par l’affirmatif tout en allant me cacher sous l’escalier. Mon idée était de la prendre dans mes bras pour la porter sur notre table de massages pour lui appliquer ma vengeance.
Elle me cherchait. Je jetais une pantoufle sur le palier du premier pour l’attirer sur une fausse piste. Elle mordit à l’hameçon et j’en profitais pour aller me lover sur la banquette du salon à la place qu’elle occupait tout en jetant en un rien de temps chemise, pantalon, chaussettes et slip derrière le dossier :
– Je suis là… (nu comme un ver)
Elle redescendit quatre à quatre et s’immobilisa devant moi radieuse. Ses seins ondulaient insolents et elle se jeta littéralement sur moi. Sans sa petite culotte, elle aurait bien pu s’empaler sur mon glaive tout tendu. Sa bouche me dévorait sauvagement et je sentais une petite humidité sur sa petite culotte. Flore était vraiment heureuse de me retrouver sachant que j’avais fait l’effort de lui faire ce plaisir :
– Merci mille fois d’être venu ! Depuis mon réveil j’ai une envie folle de te sentir en moi. Je t’aime !
– Tu m’as assez chauffé avec tes merveilleuses photos sensuelles. Tu m’étonneras toujours.
N’est ce pas ! (se collant encore plus fort contre moi et redoublant la vigueur de sa langue contre la mienne)
Je la pris dans mes bras et la posa sur mon épaule tel un sac de linge, lui tapotant les fesses gentiment :
Tu vas voir…
Elle riait. Je la portais sur notre table la déposant à plat ventre. Je plaçais un moelleux coussin sous son ventre pour la remonter afin d’accéder plus facilement à son bas-ventre :
– Je vais t’appliquer ma vengeance !
Une douce vengeance, j’espère ! J’avais très envie de toi lorsque je me suis réveillée et tu n’étais plus là alors j’ai décidé de te taquiner. Tu n’es pas content ?
– Heummmmm, je ne sais pas…
– Hypocrite que tu es !
La voix de Flore est toujours suave, douce et mélodieuse. Elle ne la hausse que très rarement juste pour me manifester un éventuel désaccord, ce qui n’arrive pas si souvent.
Sa tête était posée sur ses mains et en me regardant de côté elle me souriait malicieusement. Je lui ôtais sa petite culotte toute humide et tachée. Tout en la faisant descendre lentement, je lui caressais les jambes m’arrêtant derrière ses genoux puis repartais vers ses mollets puis le dessus de ses pieds. Elle était chatouilleuse sous les pieds et je ne voulais pas que cela dégénère. Je léchais ses fesses la faisant tressauter. Je voulais la garder ainsi sur le ventre avec l’idée de l’exciter et de la prendre, pour me venger, par derrière enfilant sa délicieuse rosace. Sur la tablette posée près de la table, son gode anal en acier attendait de la visiter. Sa culotte retirée, je reprenais mes caresses en passant d’un point à un autre pour l’affoler. Cela faisait son effet car, Flore, son front sur ses mains avait des tressaillements. Je continuais ce petit jeu durant quelques minutes puis j’approchais de sa fente arrière essayant d’y glisser un doigt. Ses fesses étaient serrées dures comme du bois. Je décidais de lui écarter les jambes pour avoir accès à son puits d’Amour. Elle me résistait les fesses toujours contractées. J’insistais mais rien à faire du moins par la douceur. Devais-je employer la manière forte ? Pourquoi ma vengeance était de la prendre par derrière ? Fantasme d’homme qui veut punir, humilier la femme ? La femme aime-t-elle vraiment être prise par derrière ou le fait-elle pour nous être agréable ? Vous seules, mesdames, avez les réponses ? J’ai donc compris que Flore se refusait :
– Tu refuses ma vengeance ?

Tu me réponds ?

Tu exagères, tu m’as allumé au travail avec tes messages et tu te refuses ainsi !
– J’ai envie de ta pénétration, de te sentir, de jouir… (d’une voie à peine audible)
– Tu es vraiment coquine !
– Non, amoureuse folle de toi… Tu ne le devines pas…
– Bien sûr que si, Amour !
Alors, je l’invitais à se retourner sur le dos. Ses yeux grands ouverts, elle me souriait mais pas d’un sourire de victoire, non, d’un simple sourire de bonheur parce qu’elle savait que je m’occuperai d’elle pour la combler. Là, elle écarta elle même ses magnifiques jambes. Elle m’était toute offerte et je dois dire que ce spectacle vaut bien toute les baises par derrière. Je sais, parce que Flore me l’a avoué, que si elle me donne sa rosette c’est bien pour me faire plaisir car elle n’en tire aucune jouissance. Par contre, le fait de jouer avec son gode anal durant l’acte décuple la puissance de sa jouissance vaginale. Cela aussi elle me l’a avoué ! Je l’avançais au bord de la table afin que ses jambes m’enserre la taille. Je recommençais de la caresser. D’abord je m’attardais sur ses seins, passant d’un téton déjà tout en érection à l’autre, puis sur ses aréoles toutes pigmentées de désir en décrivant des caresses circulaires autour de ses provocants pitons. Elle fermait ses grands yeux, se plongeant dans ses délices. Sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration. Je l’aime cette femme lorsqu’elle se donne ainsi tout en confiance. C’est idiot comme phrase ! Je l’aime tout le temps !…Ma lente descente vers son éden commençait. Flore de sa main gauche me caressait lentement le sexe qu’elle avait réussi à capturer. Je m’arrêtais longuement sur son nombril et son ventre. Elle adore être frôler dans cette partie. Cela lui procure d’énorme tressaillements de tout son être. J’arrivais tranquillement à sa zone cruciale, celle qui peut tout faire rater si vous ne répondez pas à son attente. Je sais que trop d’excitation lui coupe une bonne partie de son envie. Trop de caresses clitoridiennes vont à l’encontre du résultat escompté. L’amener à venir doit être un parfait équilibre, un parfait dosage de caresses qui ne doivent pas agacer. J’effleurais la peau de chaque côté du pli de l’aine et continuait à l’intérieur de ses cuisses. Elle s’ouvrait inexorablement. Sa peau frissonnait un peu plus. Je survolais ses grandes lèvres sans encore m’y attarder, la laissant languir encore un peu.
C’est alors qu’elle releva ses fesses tout en relevant ses jambes me laissant entrevoir son petit trou. Elle voulait son gode anal qui lui comprimerait son vagin lorsque je serai profondément positionné en elle.
Je le prenais sur la tablette tout en l’enduisant de gel lubrifiant et doucettement je l’enfilais dans son petit cul. De forme conique bombée en acier avec un pied en forme de verre à cognac, elle l’avala brusquement, il était en place. Son pied dépassant reflétait toute la lumière ambiante. Son petit cul brillait de mille feux. Je le tirais en arrière essayant de le ressortir mais Flore le bloquait en elle. Elle rouvrit ses yeux me souriant, voulant dire « Tu peux toujours essayer !» je n’insistais pas. Elle avait eu ce qu’elle voulait et repris sa position initiale, me retenant à la table, collé à elle, emprisonné entre ses cuisses. Je me laissais glisser pour m’accroupir et venais déposer mes lèvres sur ses lèvres intimes. Ma langue dure entrouvrit sa petite corolle et je posais un index sur son bouton rose tel un papillon à la recherche d’une Flore. Le butinage allait commencer. Ma langue léchait sa vulve si accueillante, glissant sur sa cyprine toujours aussi abondante. Elle allait s’engouffrer irrésistible dans son vagin dilaté. Flore laissa échapper de petits gémissements qui me renseignaient sur son état d’excitation. Je la titillais avec précaution. Elle prenait de plus longue respiration. Sa bouche s’entrouvrait, sa tête oscillait. Pendant cela, mes mains avaient repris le massage de ses deux globes si bien galbés, les pétrissant, les étirant, pinçant leur petit bout. Flore ondulait soulevant sa poitrine, soulevant ses reins commençant à aller chercher une récompense bien méritée. Je me relevais.
La table était à la bonne hauteur. Mon index et mon pouce faisait rouler sa petite bille pendant que mon majeur et annulaire avait pris la place de ma langue. Je masturbais en cadence et Flore me répondait en se calquant sur mon rythme. Un filet de cyprine coulait sur son gode anal. J’étais énorme, me donnant l’impression d’avoir mes petites balles remplies de ma gelée. Flore passait avant. J’étais à l’écoute du moindre tressaillement qui me renseignait sur le degré de son contentement. La concentration que je m’imposais repoussait l’échéance de mon ultime délivrance. Flore ouvrit à nouveau les yeux. Ils commençaient à être dans le vague comme si elle était droguée à l’amour. C’était sa manière pour m’appeler en elle. Je retirais mes doigts et lui prenais les fesses fermement pour la guider vers mon antenne, totalement en réception. Je la pénétrais tout en douceur comme lorsqu’on échappe une savonnette dans l’eau du bain. Je plongeais dans un lac de cyprine et aller forcément m’y noyer. Flore émis un petit miaulement de félicité. J’étais en elle, ce qu’elle espérait depuis son réveil. De la manière dont elle se comportait, je comprenais que c’est moi qui la ferai venir et non elle qui se ferait venir. Elle avait décidé d’être passive ce qui heureusement pour moi n’est pas toujours le cas; mais c’est cela l’équilibre dans un couple. Je pétrissais plus fermement ses fesses la plaquant sur mon stipe au bord de la rupture. Elle frémissait de plus en plus, faisant aller sa tête. J’en profitais pour faire vibrer son gode au rythme de ses coups de rein. Flore était aux anges à voir ses ondoiements. Je quittais ses fesses pour la prendre dans mes bras la faisant s’appuyer momentanément sur la table. Elle mit ses bras autour de mon coup et langoureusement sans ouvrir ses yeux colla ses énormes seins tous gonflés sur ma poitrine haletante. Je la soulevais afin que son gode ne lui fasse pas mal en restant coincé sous ses fesses. Je l’emmenais sur notre lit douillet et là je l’allongeais sous moi appuyé sur un avant bras pour ne pas l’écraser de mon poids et lui laisser tout le loisir de se faire aller. J’arrivais à lui capturer un téton de mes lèvres et je le tétais goulument, le laissant échapper et le reprenant. Puis mes lèvres et ma langue parcouraient son buste abandonné sautant d’un mamelon à l’autre, glissant entre ses vallons et revenant à son autre téton. J’amplifiais mes coups de rein et Flore y répondait allant de plus en plus rapidement. Elle vibrait de tout son corps. Je n’accélérais pas. Je lui donnais de longs coups. Flore se fatiguait et ralentissait c’est alors que je repris de plus belle pour arriver à lui offrir sa délivrance. Cela ne tarda pas. Je sentis son corps se crisper, tout son être se tendit, un imperceptible tremblement s’empara de Flore. Un long souffle caressa mon visage accompagné d’un « ôooooooooooo amourrrrrrrrrr », sa vulve se contracta sur ma verge. Flore jouissait atteignant l’extase tant attendue. Elle vibrait quelques secondes encore lorsque n’en pouvant plus je lui envoyais toute ma sève dans un râle de félin en rut. Je giclais deux ou trois cinglants jets sur ses parois vaginales et son col d’utérus. Flore, les yeux grands ouverts me regardant jouir, laissa échapper un autre long soupir signe qu’elle avait une nouvelle jouissance. En fait son état d’excitation si intense lui amenait une véritable cascade de spasmes qui durèrent quelques secondes. J’étais vraiment heureux de pouvoir lui prodiguer une si belle récompense. Elle m’embrassait goulument pour me remercier de tant de bonheur. C’est alors qu’elle se rejeta sur le lit. Elle releva ses jambes très haut. Elle allait m’offrir ma récompense, m’autoriser à emplir son petit cul. Je peux vous dire que jouir lorsque Flore vous serre à mort de son sphincter anal c’est quelque chose. C’est Flore tout crachée : dans un premier temps, elle me l’avait refusé pour mieux me l’offrir maintenant. Je retirais délicatement son gode laissant un trou béant ne demandant qu’à être enfilé. Je la pénétrais de mon majeur enduit de gel, et caressant cette paroi, je lui extirpais une violente secousse de tout son être, la surprenant. Je ne perdais pas de temps et trempais mon pinceau, mon pochoir-brosse dans cette charmante oubliette où je n’allais pas tarder à m’oublier. Flore me prodiguait de douces contractions. Mes va-et-vient se précipitaient. On entendait le bruit des fessées que je lui infligeais à chaque coup de mes reins sur sa croupe. Et dans un ultime élan, Flore me serrant du plus fort qu’elle pouvait, je repeignais son petit cul de ma plus belle peinture. Traversant mon gland turgescent, deux violents jets tapissaient l’intérieur de Flore. J’étais anéanti de volupté. Flore ne m’avait pas quitté des yeux s’offrant un joli spectacle et elle souriait malicieusement sans doute heureuse du tour qu’elle m’avait joué durant toute cette journée. C’est sans doute pour cela que nous sommes toujours ensemble, abreuvés du même Amour, de la même volonté de nous mélanger, de nous accorder, de nous aimer. Nous filâmes sous la douche. Il était grand temps de nous préparer pour prendre la route.

Flore n’était pas une fanatique du volant et nous ne nous sommes jamais battus pour le prendre. Lorsque nous sommes ensemble, c’est simple, la ville c’est elle et j’ai la route… Flore s’installa tranquillement. Elle était superbe dans une robe noire moulante plus courte qu’à l’habitude faisant ressortir tous ses superbes atouts. Au bout de quelques kilomètres elle recula son siège et baissa le dossier à moitié. Elle allait faire une petit somme. Sa robe, comme par malice, remontait assez haut et me laissait entrevoir sa petite culotte de dentelle noire et surtout son entrecuisse. Dans les grandes lignes droites de l’autoroute au moins j’aurai un peu de distraction tout en écoutant en sourdine mon CD préféré : la regrettée Amy Jade Winehouse « Back to Back ». Cela n’a pas traîné. Je ne venais pas de finir de dépasser un « gros cul » que je me prenais un premier petit appel de phares : Le bougre, juché la haut dans sa cabine, avait bien eu l’œil pour mâter Flore toute abandonnée. Je laissais Flore se reposer et en profitais pour faire défiler les kilomètres.
Nous en avions pour quatre ou cinq heures avant d’arriver à l’hôtel sans trop de soucis à nous faire : Nous avions retenu une chambre. Au bout d’une bonne heure et demie Flore se réveilla avec une petite envie. C’était très bien. Cela nous ferait une petite halte routière. En repartant, par acquis de conscience, je voulais m’assurer rapidement d’une chose. Je posais ma main droite sur son bas-ventre et je sentis que sa petite culotte était absente :
– Coquine ! Je m’en doutais !
– Tu n’apprécies pas ?
– Si si amour… Tu es toujours aussi fabuleuse !
Elle se rapprocha de moi sur son siège et je pus commencer à mieux caresser ses cuisses. Nous étions en été et j’allais pouvoir œuvrer sans filet contraignant. Je sentais le grain de sa peau. Je dessinais des ronds, des aller et retour, sautais de ci de là affolant le plus possible les sens de Flore. Au bout d’un moment, je sentis Flore écarter totalement ses cuisses. Ainsi, elle m’invitait à rendre visite à son intimité la plus chère. Ses chaires rosées étaient déjà humides, elle avait commencé à mouiller. Elle avait remonté très haut sa robe pour ne pas la tacher :
– Tu vas faire plaisir au routier sympa ! (en riant)
– Tu es jaloux ?
– Non ! Cela leur fait un peu de distraction… Puis tant qu’il ne touche pas…
D’ailleurs, il n’y avait pas que Flore qui commençait à mouiller, le ciel aussi… Il ne me restait plus qu’à monter Flore au septième ciel et la boucle serait bouclée. Elle avait posé sa tête sur mon épaule et fermé ses grands yeux marrons. Elle savourerait ce moment présent comme à son habitude. Je continuais de caresser le haut de son entrejambe et de mon petit doigt j’imprimais de douces pressions le long de ses grandes lèvres. Heureusement que nous sommes sur autoroute et que les grandes lignes droites me sont favorables. Rassurez-vous, je ne m’amuserai pas à cela sur des routes de campagne et je sais que Flore ne se prêterait pas à ce sensuel jeu. Je caressais son petit triangle de poils toujours en respectant mon habitude : Ne jamais me précipiter sur le dessert. Je défrisais le peu de poils si délicieusement taillés par son ami esthéticien. Flore laissait filtrer d’infimes tressaillements me prouvant que j’étais sur le bon chemin. Mon pouce et mon majeur redescendaient le long de son sexe tout en laissant trainer mon index sur sa corolle qui s’ouvrait inexorablement. Je capturais son petit bouton que je pressais tout en le faisant rouler. Flore s’embrasait lentement mais sûrement. J’écartais ses petites lèvres afin d’y déposer un doigt et je limais juste en dessous de son clito dardé. Je n’étais pas en bonne position pour m’introduire dans son vagin et par expérience je savais que Flore dans ce genre de situation apprécierait plus une jouissance clitoridienne. À moi, par la suite, d’être assez inventif pour l’amener à sa jouissance vaginale. Donc je n’essaierai pas de m’introduire plus profondément, je ne resterais qu’à l’écoute des signes salvateurs du bonheur de Flore. Elle ondulait au rythme de mes va et vient, tressaillant violemment par instant. Sa respiration au creux de mon oreille s’accentuait. Elle en mordillait tendrement le lobe de l’oreille. Sans aucun doute, elle me montrait ainsi toute sa reconnaissance. Ce sont ces petits riens qui vous rendent heureux, qui vous font ressentir que vous avez de l’importance pour l’autre. Je redoublais mes ardeurs, ma main droite toujours accrochée à son intimité. Flore n’allait pas tarder d’entrer en transe à la recherche d’une libération de tout son être. C’est elle qui irait la chercher ne pouvant pas en faire beaucoup plus derrière mon volant. Mes attouchements étaient plus rapides. Elle donnait de violent coup de reins tout en se tortillant sur son siège. Je l’aidais du mieux possible. Elle descendit son doigt et repris son bouton le caressant ardemment sentant que je ne pouvais pas trop bien l’accompagner. Elle allait se finir elle même toujours sa tête sur mon épaule voulant ressentir ma présence. J’étais en elle et mes deux doigts trempés de cyprine allaient et venaient rapidement juste par effleurement. D’un geste rapide elle se caressait savamment. Je sentis sur ma nuque un long souffle et Flore émis un imperceptible et suave gémissement. De délicieux spasmes contractaient mes doigts durant de nombreuses secondes : Flore jouissait… Elle se tortilla encore quelques instants, respirant profondément puis vint déposer un gros bisou langue sortie, mouillée, pleine de malice…sur ma joue. À sa façon elle me disait tout son Amour, toute sa joie. Elle était heureuse et cela contribuait à mon équilibre, à mon Bonheur. Il pleuvait toujours et par miracle nous arrivions à une aire de repos. Quelques poids lourds sur leur parking et quelques bosquets d’arbres allaient bien faire mon affaire. Je stationnais dans un coin calme et abrité. Flore me faisait une petite place. Elle avait bien compris que je m’occuperai d’elle. Je déboutonnais et repoussais pantalon et slip. Je passais sur son siège et elle s’empalait sur mon épée qui, depuis bien des kilomètres, était en ordre de bataille. Lorsque Flore vient juste de jouir par le clitoris, elle ne met pas bien longtemps pour trouver sa félicité suprême, sa seule et vraie profonde récompense, son plaisir vaginal. Nous étions comme deux bêtes en rut un peu pressés afin de ne pas être surpris et cela pimentait notre relation. La soutenant par sa croupe rebondie je la soulevais et faisait claquer son bas ventre contre mes cuisses en cadence. Je palpais ses seins à travers sa robe. Je les sentais fermes et très tristes d’être dans leur carcan. Ils auraient bien aimé eux aussi être de la fête… Flore faisait aller sa langue au plus profond de ma bouche. Elle était en sueur dans cette habitacle fermé. Entre deux fougueux baisers je léchais ses joues salées puis elle me reprenait de plus belle. Je me disais en moi-même « Quelle journée ! ». Je savais qu’elle était ainsi. Dans son cycle, elle avait des périodes de désirs extrêmes et aujourd’hui, c’en était la parfaite illustration. Ses bras me serraient de plus en plus fort et tout en continuant mes ondoiements, je conduisais Flore vers la suprême libération de toutes ses tensions. Je glissais quand même un doigt sur sa rosace pour la presser et la caresser au rythme de nos élans. Je savais qu’il ne fallait surtout pas que je la pénètre en pareille situation. Je lui aurais coupé immédiatement toute envie. Une fois m’avait suffi à comprendre son fonctionnement. Lorsqu’elle me l’offre, c’est bien par reconnaissance et non par plaisir. Dans un violent cri sauvage, dans une excitation infinie, le corps parcouru de convulsions, Flore jouissait au plus profond de son être. Sentant toute cette force en elle, heureux de l’avoir assouvie, je déchargeais à mon tour giclant abondamment sur les parois de son vagin provoquant à nouveaux de gentils spasmes sur ma queue toujours aussi énorme. Flore ressentait une petite cascade d’orgasmes qui allait s’estomper tranquillement. Elle éclata en sanglot, des sanglots de bonheur. Je léchais ses larmes. Elle se recula pour me regarder. Elle me souriait puis se jeta à nouveau sur ma bouche m’embrassant à n’en plus finir. Elle venait d’être vraiment heureuse et me le prouvait. Je vous souhaite à tous, lecteurs que vous êtes, d’avoir une femme aimante comme Flore. Rien de plus merveilleux dans ce monde de brut. Sur ce parking, nous n’avons pas été dérangés; il faut dire, qu’avec ce temps là, cela tombait bien !. Nous sommes restés ainsi enlacés de longues minutes, dans la béatitude goûtant à l’apaisement que nous avions bien mérité. Nous étions bercés par le bruit de la pluie sur le toit de la voiture, ce qui apportait un immense plus à notre divine relaxation. Flore se souleva et nous nous sommes désaccouplés.
– Je te dois mon petit trou. Tu le mérites bien, chéri…
– Tu ne me dois rien, tu m’as fait vivre une journée que je ne suis pas prêt d’oublier !
– Toi aussi, je te remercie d’avoir su répondre à mon attente.
– Je suis fou de toi et lorsque tu m’affoles comme aujourd’hui tu es irrésistible ! Je t’aime…
– Je le sais ! Me too !
Je sortais du véhicule en premier suivi de Flore et nous allâmes aux toilettes avec nos serviettes humides. Nous avions à faire : Flore était ruisselante jusque sur ses cuisses, ma verge et mes poils portaient encore tous les stigmates de sa liqueur, ses fils amants comme j’aime à le dire. Nous reprîmes la route à la recherche d’un snack-bar. Ces sensuelles activités nous avaient mis en appétit. Un peu plus tard, nous sommes enfin arrivés à notre hôtel. Nous nous sommes douchés ensemble juste avec quelques caresses et baisers. Flore s’allongea sur le ventre relevant ses fesses au bord du lit m’offrant, comme elle me l’avait promis, son petit trou. Je m’allongeais à ses côtés :
Tu es délicieuse et je te remercie ! Mais j’aimerai que nous dormions. Nous sommes fatigués et demain nous avons une grande journée.’ Je préfère ce soir jeter l’ancre pour être au mouillage en attendant une petite brise où je te mouillerai de mon encre sympathique.
Comme tu veux, mon poète amoureux !
Elle me fit un gentil baiser et se lova tout contre moi. Au téléphone de la chambre, je commandais le réveil matin et le petit déjeuner. Nous n’avons pas traîné, nous étions brûlés par notre folle journée. Nous nous endormîmes sans demander notre reste. Comme bien souvent Flore me tenait comme un éléphant par ma trompe et moi, je posais, protecteur, ma main sur sa vulve; mon pouce sur sa petite bille et mon majeur telle l’ancre au fond de son abîme comme pour être sûr de ne pas la perdre. Sentir ainsi sa fente m’apportait une paix intérieure indescriptible. Inutile de vous dire que j’aime cette femme à en mourir.

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Flore et moi espérons vous avoir donné du plaisir à nous lire. Nous vous remercions de tant d’attention et espérons vous avoir fait vibrer. Pardonnez-nous pour nos commentaires si ceux-ci vous ont importunés. Vous voyez bien, qu’adeptes d’expériences qui nous sortent du quotidien, nous adorons aussi le quotidien. Nous nous consacrons beaucoup de temps; il n’y a rien de meilleur pour notre équilibre et notre santé. Nous essayons dans nos récits de soulever des discussions et nous espérons que vous y répondrez. Certaines et certains, sans doute d’un âge plus avancé, nous parlent d’enfants. Je ne pense pas que ce soit le lieu sur ce site d’en parler. Vous seriez surpris sans doute de savoir ce que nous en pensons.
Nous serons heureux d’échanger sur nos récits avec vous :
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Proposée par Cynematek
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