Mon Samedi à l’hôtel où défilent mes (hommes) queues en mains pour me combler

Cette histoire est toute récente, toute fraîche, nous sommes le samedi 2 juillet de cette année.

Hot Hôtel Depuis le début de la semaine comme d’habitude, je fais mon petit effet sur le net et pas mal de d’amateurs se bousculent pour me rencontrer, cela m’excite beaucoup je dois l’avouer.

Voilà comment je procède, pour réaliser mes rencontres, dans un premier temps nous échangeons par mails nos goûts en matière de sexe, j’envoie quelques photos et des petites vidéos que j’ai réalisées avec Ted un ami black très sympa, mais cela c’est une autre histoire, que je ne manquerai pas de vous raconter une prochaine fois.

Donc revenons à ce samedi, après tout ces échanges, nous fixons le rendez-vous, j’ai quatre candidats chauds bouillant : Deux blacks, un beur et un jeune homme de 24 ans qui veut essayer avec un travesti.

Je ne veux pas qu’ils se rencontrent, je dois espacer convenablement mes rendez-vous.

Par expérience je sais que rares sont ceux qui veulent partouzer surtout pour la première rencontre !

Voilà donc ma technique bien des fois appliquée, je donne rendez-vous à chacun d’eux dans un hôtel pas cher (Première classe *) il a l’avantage d’être propre et surtout d’avoir (contrairement au Formule 1) une salle de douche fermée. Cet hôtel, je le choisis dans mon coin, de préférence, mais j’en n’ai testé d’autres de la même enseigne et je n’ai jamais été déçu. Je pense que beaucoup se servent aussi de cet endroit pour baiser hétéros et homos confondus.

Bien entendu, les rendez-vous sont donnés à des heures bien définies, je commence en général fin de matinée vers 11h30, pas avant car les chambres ne sont pas faites, je leur ai demandé auparavant de participer de moitié au frais d’hébergement donc il n’y a jamais de problème ou de mauvaises surprises, je dois avoir de la chance !! j’aime les choses claires et n’aime pas parler d’argent, tout le monde sait que je ne suis pas vénale sur le net mais une participation c’est normal de mon point de vue.

Un des avantages non négligeable de cet endroit, c’est que je peux payer en espèce ne laissant ainsi aucune trace, sur ma carte bleue entre autres.

Je m’arrange toujours pour être sur place une bonne demi-heure en avance, le temps d’organiser la chambre, défaire le dessus de lit, tamiser la lumière, mettre ma boite de préservatifs et mon lubrifiant sur la table de chevet. Après tout cela je me prépare, je me déshabille, prends une douche, je me rase si je vois quelques poils naissant sous les bras par exemple, je tire mes cheveux longs en arrière, je mets des barrettes afin qu’ils soient bien plat, car je mets ma cagoule depuis quelques temps je trouve cela excitant et surtout elle cache ma barbe et puis que trois trous, deux pour voir, sans être vu, et le troisième véritable pompe à sperme, mais la cagoule c’est ce que j’enfile en dernier, avant je me poudre le corps, mets deux fonds de teint, et me maquille les yeux, pour que mes cils seuls partie visibles soit charmeurs et attirants, et coquins. Je finis généralement par le rouge à lèvre qui aura comme mission d’attirer comme un véritable piège, d’être une pompe à sexes. Une fois ces artifices posés, appliqués, je m’habille, porte-jarretelles, bas nylon coutures, j’enfile petite jupe très courte, puis un chemisier ouvert sur ma petite poitrine, je me regarde une dernière fois dans le miroir si l’ensemble est crédible, oui ! Je pense que beaucoup de femmes aimeraient être aussi désirables, pourquoi serais-je modeste ? L’art de la copie n’est pas seulement de ressembler, c’est d’être mieux que l’original, et surtout de ne pas décevoir, plaire inspirer, être désirable.

Je reviens donc à ce samedi toute prête il est 12h45 le portable me signale un texto, je regarde oui c’est Mahou (un black qui m’a semblé vigoureux) : « Je suis dans le parking. »
Je luis réponds : « ok chambre 22 pousses la porte elle sera entre ouverte. »

Des le texto envoyé j’éteins la lumière, en laissant tout de même la salle de douche allumée met la porte de cette salle d’eau entre ouverte pour que seul un rai de lumière pénètre dans la chambre, j’entrouvre la porte de la chambre, je m’allonge sur le lit, sur le côté, laissant voir ainsi ma croupe prometteuse, j’attends.

Toutes les chambres de cet hôtel donne sur l’extérieur il y a donc un balcon en bois, qui distribue toutes les chambres, on n’entend très bien les pas, et là justement, des pas se rapprochent un petit toc toc sur la porte, enfin elle s’ouvre et se referme très vite, mais j’ai eu le temps d’apercevoir, un homme d’une grande stature très bien musclé. Il s’adresse a moi :

– Bonjour Baby je suis à l’heure ?
– Oui je te remercie tu fais de la muscu.
– Dans le temps, tu es tres sexy comme sur les photos
– Merci

Je lui montre la salle d’eau :

– Si tu veux te rafraîchir ne te gènes pas !

Il s’assoie sur le bord du lit et commence à se déshabiller, mes yeux se sont fait à la pénombre et je vois très nettement son corps ses courbes, la bosse dans son slip est conséquente, il l’enlève et sort de là un superbe verge longue et épaisse, entourée de petits poils bouclés, pour le premier de cette journée il met la barre haute, une fois complétement nu il se rapproche de moi rapidement.

Il est doux me caresse les jambes, je sens ses mains sur mes bas, il aime j’en suis persuadé cette sensation, il pose ses grandes mains maintenant sur mes fesses, les tâte, il pétrit mes cuisses voilà qu’à peine remis de ses caresses, il me prend la bouche m’embrasse tendrement. Sa langue me fouille, je touche son désir au plus profond de moi, son sexe contre mes cuisse grandit mais jusqu’où peut-il aller ? Mon anus s’ouvre tout seul, l’envie l’emporte, voilà qu’il me pince mes petits seins il me les suce et les mordille gentiment, cet homme est vraiment sexe, et sait s’y prendre.

Je suis attiré irrémédiablement par le désir de toucher son sexe qui est devenu énorme, j’en fais le tour avec mes doigts, je l’évalue, je n’arrive pas à les rejoindre tellement la circonférence est grande ! Je descends ma mains jusqu’à sa garde, ses couilles sont remplies, elles sont dures dans ma main, elle ne suffit pas à prendre complètement ce gros paquet.

Je me dégage de ses bras et entreprend une descente douce, je laisse ma langue humide sur corps trainer, lui promettant ainsi le fellation qu’il mérite.

Arrivée face à ce beau gland, je le lèche sur toute sa longueur jusqu’aux parties, je le sens se raidir, bouger tout seul comme un grand et puis je le met au fond de ma bouche dégustant son goût épicé et me l’enfonce à plusieurs reprise le plus profond que je peux, mes deux mains suffisent à peine à le recouvrir sur sa longueur, il doit faire plus de 20cm !!

Je vais, je viens sans cesse, j’entends mon nouvel ami gémir de plaisir et d’excitation. J’étouffe sous ma cagoule, mais j’aime cette contrainte, et je suis habituée. Je le suce depuis bien 20 minutes, je pense qu’il veut se soulager dans ma bouche, ce qui n’est pas pour me déplaire. Mais non, ce n’est pas le scénario qu’il a choisi, il me demande de me tourner sur le ventre, prend un flacon qu’il à amené, et me barbouille les fesses et l’anus d’une substance huileuse, il me dit doucement :

– C’est de l’huile d’olive tout simplement, rien de plus sain et efficace…

J’en apprends tous les jours, effectivement ça glisse bien, ses grands doigts entourent mon anus et le pénètrent, reviennent, repartent au plus profond, ils préparent le terrain pour le monstre. Quelques instants plus tard après m’avoir manipulé sans même que je m’en rende compte, ou étais-je partie ? Je m’abandonne littéralement à cette bête de sexe, et je me retrouve en position de levrette, il m’écarte avec précaution les fesses, enfile sa langue dans mon anus brillant d’huile, une vrais friandise orientale.

Il me suce goulument et dépose, je le sens, sa bave sur mon fessier je la sens couler, après cette préparation

Il redresse son grand corps, se met sur ses genoux, immédiatement le bout de sa verge caresse mon anus et commence son introduction par progressions lentes mais déterminées.

Mes entrailles s’écartèrent pour laisser passer se convoi de jouissance sans broncher.

Nous ne faisons qu’un, maintenant nous bougeons ensemble, en accord, il s’enfonce, je m’ouvre grande, la vitesse des assauts s’accélère, le bruit des frottements m’excite beaucoup, puis les rotations vont de plus en plus vite. Dans un petit cris, je lui demande de ne pas me jouir à l’intérieur, je ne lui ai pas mis de préservatif, (d’ailleurs il faut du XXL pour lui, je n’en n’ai pas !!), il me répond :

– Fais moi confiance.

C’était si bon, je suis dans tout mes états, je bande comme une folle, une envie de jouir aussi, je lui fais confiance et je suis folle de toute manière.

Sa longue queue va et vient maintenant à son gré à sa vitesse parfois au ralenti parfois à toute vitesse, il tourne aussi ses hanches pour que son sexe fouille bien et me remplisse complètement, je suis bien prise, ses couilles tapent contre mes fesses, elles sont lourdes et ne demandent qu’à se vider, comment je puis prendre un tel engin dans mes entrailles ?

Dans un mouvement brusque soudain, il se retire pour mieux s’enfoncer, j’ai l’impression que mon anus s’enroule sur lui même à chaque fois qu’il se retire et qu’il forme une grosse lèvre luisante, je mouille d’un plaisir extrême.

Le rytme devient de plus en plus effréné, il vient, il vient, c’est un manche que j’ai dans la chatte, dur comme une vrais trique. Il se met à pousser des petits cris et d’un coup se retire violemment, m’écarte les fesses et fait jaillir son sperme tiède, sur mon anus, il me barbouille de partout et étale sa bonne crème avec ses deux mains sur mes fesses, il y en a une quantité impressionnante je suis remplie de sperme, mes bas sont maculés de cette délicieuse substance, il tient encore son énorme sexe dans la main, je le prends et le suce jusqu’à la dernière goutte, j’aspire le nectar, lui passe la langue autour du gland pour n’en rien laisser.

– J’ai super bien jouis, me dit-il !!

il se jette sur le dos et respire très fort, de mon côté je fonce dans salle d’eau j’enlève mes bas rentre sous la douche et me rince abondamment, je me passe un gant savonneux sur l’anus encore bien ouvert retirant tous le sperme qui dégouline sur mes jambes, puis je me sèche, me parfume le corps, je vais me remaquiller complètement. Tout à coulé surement, la sueur, la chaleur, et l’excitation. J’enlève cette sacrée cagoule, l’air frais me fait du bien, je respire je n’ai pas jouis, je me suis retenue, j’ai d’autres rendez-vous, souvenez-vous.

Il est 13h 30 déjà !!! Je pousse la porte de la salle d’eau, je le vois, il s’est habillé, il mets ses chaussures me demande combien il me doit comme si j’étais une pute !! Je luis réponds 20 euros la moitié du prix de la chambre normal, je lui demande son prénom, le vrai, il me réponds Mahoud il est d’origine sénégalaise, il me dit combien il a eu de plaisir à passer ce moment avec moi, il est vidé, mais s’il avait eu plus de temps il aurait remis le couvert mais sa femme l’attendait (ces propres mots). Il se lève rapidement, remet un blouson que je n’avais pas remarqué lors de son entrée me dépose 20 euros sur le chevet, me regarde avec un sourire complice.

– Je te rappelle la semaine prochaine ok ???

Ce qu’il fit, nous nous voyons toujours !!!

Dès que la porte se referme je fonce devant le miroir, bon ! Pour commencer, il faut que je me démaquille, ce que me renvoie ce miroir est désolant, mais entre nous, quel pied j’ai pris, même si je n’ai pas jouis quelle plaisir je lui ai donné, je reste songeuse et prends une cigarette pour me calmer je suis toute chose.

Le prochain rendez-vous est dans une demie heure, 14h je crois ? Je vérifie, oui c’est ça, un autres black, un antillais !!! Décidément je deviens une spécialiste ! (j’en n’ai une belle collection déjà)

Je remets la chambre en ordre surtout le lit, bien froissé, la boite de préservatifs n’a pas été touchée, mon lubrifiant chauffant bien en vue non plus, juste le lit. Après une séance maquillage, surtout les yeux et la bouche, je me suis barbouillée de rouge à lèvre jusqu’au nez tellement j’ai sucé cette queue gigantesque, allez !! j’efface tout, je recommence, 15 minute après je suis toute fraîche, j’ai diffusé un coup vapo dans la chambre une bonne odeur de rose et de poudre de riz, une bonne ambiance sexe, douce et feutrée est revenue masquant l’odeur de sperme et de nos transpirations.

Mes bas encore mouillés viennent d’être renfilés quand je reçois le premier texto de mon Antillais :

– Je me gare dans le parking ??

– Oui pas de problème chambre 22.

Comme d’habitude j’éteins, j’ouvre la porte, je saute sur le lit, petite lumière provenant de la salle de bain ok.

Je sens mes fesses, elles s’écartent d’envie, sachant qu’elles en recevront encore plus dans ce début d’après-midi, la porte s’ouvre. L’homme n’est pas grand, un peu tassé mais à vue de nez je pense la cinquantaine ?

C’est un rapide je vois ça tout de suite, il me toise, ouvre la porte de la salle d’eau pour mieux me voir il est râblé et il a des petit cheveux gris.

– Tu es une belle salope toi, tu vas en prendre plein la bouche tu m’as dis que tu adorais ça.

– Oui viens, je te soulage de suite.

Il ne se déshabille pas, il baisse simplement son pantalon juqu’aux genoux et se dirige vers moi.

– Viens sur le bord du lit, viens t’assoir ici et… Suce, dit-il !!

Je m’exécute, j’aime être soumise aux caprices de mes partenaires, je me glisse tout prêt du bord vers le coin du lit, je vois devant moi un slip blanc d’un autre âge mais propre. Je prends l’élastique, le tire et découvre une verge pas très grande mais très épaisse et un peu mole. Je la prends directement et l’introduis dans la bouche, je devine rapidement que je ne la laisse pas indifférente, elles durcit de suite la bougresse, je l’ai maintenant en pleine bouche je peux à peine respirer (pas si petite la trompeuse) !! Lui me touche et me pince les seins j’adore ça, il les roule sous ses gros doigts.

Je le tiens à pleines mains par les fesses, je les pousse contre mon visage, ma bouche grande ouverte gobe entièrement son dard.

Il bouge et commence le va-et-vient, il me l’enfonce à la nausée j’adore, je prends ses couilles durs comme deux pierres dans mes mains, les chauffe comme de la braise, je n’attends pas longtemps pendant que mon nouvel ami tire comme un fou sur mes tétons rougis. Je sens d’un seul coup son sperme tiède me remplir la bouche, par jets successifs j’avale à mesure, malgré le gros débit. C’est un peu sucré, il doit être gourmand !!! Il jouit fort dans ma bouche, il crie, râle et se retire d’un seul coup, je lui demande la permission de le nettoyer bien proprement. Je reprends son sexe et comme son prédécesseur je met un zèle raffiné à lui enlever tout trace de foutre sur son gland. Une fois cela fait, il remonte son pantalon met 20 euros sur la console vers la porte remonte sa baguette me dit :

– Tchao à la prochaine.

Aussitôt il disparaît comme un voleur, je reste perplexe voilà un monsieur pressé mais bien vigoureux, j’ai encore le goût de sa semence dans la bouche. Je m’en délecte en passant ma langue sur mes lèvres. Au fait !!!!! son nom ? j’ai oublié de lui demandé !!! je sais qu’il se fait appeler (kiki95) mais bon ! C’est pas grave faut prendre ce que l’on m’offre sans demander le reste.

Le prochain rendez-vous dois arriver dans 30 minutes cela me donne le temps de ma redoucher et de me repréparer pour une autre aventure, direction la salle d’eau.

Il est 15h15 je suis toute prête parfumée, tirée – si j’ose dire – à quatre épingles, mes bas bien tirés. Mes fesses ont envie (je le ressens) d’autres visites, tellement solicitées en fin de matinée puis délaissées lors de mon second rendez-vous, elles sont demandeuses, les petites garces.

Le portable reste muet, c’est le genre en retard ou pire le dégonflé qui ne vient pas, je les appelle les joueurs de flute, je les filtre mais ils en reste encore pas mal.

Oui, je me rappelle maintenant il est beur et il m’a envoyé toute la semaine des messages hots me décrivant tout ce qu’il allait me faire, un régal, mais toujours pas là, pas de nouvelles il est 30, je le sens de moins en moins se rendez-vous, il m’a donné son numéro de portable comme tous d’ailleurs le matin ou la veille sur mon mail, c’est comme ça que ça marche, donc je vais lui envoyer un texto,

– OU ES TU ??? Baby.

Pas de réponse ! Il fallait s’y attendre, j’ai des pressentiments pour ces choses, je pense aussi à mon dernier rencard de 16h30, vous vous rappelez ? Le petit jeune qui veut connaître le grand frisson avec un travesti, il va pas être déçu du voyage celui-la.

Les minutes s’égrainent, toujours rien ! 16h, il est claire que notre ami Karim ne viendra plus maintenant…

J’ai tout faux, le portable m’indique l’arrivée d’un texto je regarde

– Quelle chambre ?

C’est Karim, juste 1 heure de retard !! Je reconnais son numéro.

– 22

Mais que vais-je faire ? ? ? ? Le jeune arrive dans 25 minutes, réfléchissons mais vite, voilà j’ai trouvé, je lui dirai que nous trois avec lui si ça lui dit ? J’éteins les lumières je fais un bon sur le lit car déjà j’entends le pas de Karim le bon garçon qui est venu quand même.

toc toc

– Entres Karim.

Un garçon très sympa ce Karim, la trentaine pas mal physiquement très bavard nous engageons tout de suite la conversation, j’ai pas le choix, il parle il parle, il a creuvé, il s’est perdu, enfin la totale il me dit que je suis ravissante il m’embrasse tendrement sur la bouche, me surprenant car dans le même temps il se déshabille, vu de l’extérieur on pourrait croire que l’on se connait depuis des lustres, ce qui n’est pas le cas.

C’est contagieux, son bla bla je parle aussi lui explique son retard et lui fais part du problème que cela me pose.

– Je prends l’histoire en main, me dit-il !!

Bon, dans l’état ou vont les événements que puis-je répondre ?

– Ok occupes toi de ça, je te fais confiance, je lui rétorque.

Un beau corps Karim une fois nu, j’ai pu apprécier l’harmonie de ses formes, un peu de bide à par ça, belles cuisses épaules bien carrées belles fesses et beau sexe pas très important mais circoncis comme je les aime, aussi, j’en n’aime tellement !
Je ne dois pas lui faire beaucoup d’effet car il ne bande pas fort, il se couche à mon côté, commence à m’entreprendre les seins il me les mordille je pousse un cri ils ont été déjà été très sollicités, mais ils pointent.

– Il sont très fragiles tu sais… Lui dis je.

C’est bon quand-même, cette douleur me titille l’anus, aller comprendre pourquoi ! Je lui caresse le sexe doucement, il réagit vite, je finis par me l’enfiler dans la bouche il gonfle à vue d’oeil le coquin il est sur le dos, les jambes écartées et savoure cet instant de plaisir. Il me trifouille les fesses, mets un puis deux doigts dans mon petit trou, lui ne demande que ça, je me dilate sous la pression de ses avances.

Il me demande de monter sur lui, je m’exécute comme dab, je m’assoie directement sur son sexe.

Je me l’enfonce rapidement, le chemin est glissant, chaud à souhait, il me prends les fesses et me fait sauter et j’enfile son pieu bien profond à chaque coup de reins, il me déchire.

Voilà ou nous en somme quand mon portable sonne, je réponds c’est Jack qui est là il me demande le numéro de la chambre.

– 22, je réponds.

Karim à vite compris la situation, la queue raide une vrais trique, il remet son pantalon puis enfiles sa chemise, et saute dans ses chaussures il m’interpelle…

– Je vais lui parler.

– Ok c’est devenu ton problème.

Je ne peux pas m’empêcher de lui lacher cette phrase.

Karim attends le toc toc de politesse, il ouvre la porte et sort, je l’entends discuter à voix basse avec Jack j’entends mal, cela s’éternise, j’en profite pour me refaire une beauté rapide poudre, rouge à lèvre je tire bien mes bas qui ont tournés avec toutes ces chevauchées.

Enfin, au bout d’un bon quart d’heure, la porte s’ouvre et mes deux hommes entrent, je dis…

– Bonjours Jack, Karim t’a expliqué la situation ?

– Oui, je reste, me répond-t’il bien déterminé !!

Super, Karim invite Jack à se mettre à l’aise et les voilà tous les deux nus la bite dressée dans ma direction. Jack fait moins que ses 26 ans mais je le ressens très vicieux pour son âge.

Karim me redonne d’entrée son sexe à sucer, Jack se masturbe en regardant la scène, j’y mets tout mon coeur Karim redeviens de plus en plus dur il de demande me mettre en levrette presque debout, pas complètement accroupie, il m’enfile son dard dans mes fesses il glisse comme dans du beurre.

Il demande a Jack de lui passer mon gel se trouvant sur la tablette, il lui passe, sans broncher et passant très prêt de moi et me tends son obélisque bien raide pour se le faire sucer. Je le prends en pleine bouche, m’applique à lui astiquer comme il se doit, sans ménagement, les va-et-vient de Karim dans mon trou deviennent plus intenses, plus rapides, il m’a badigeonnée de lubrifiant, je suis ouverte et peux recevoir deux queues j’en suis sur, mais vont-ils avoir l’idée et l’envie ? J’ai le gland de Jack qui s’impatiente et rebondit à mes assauts, cela dure dure, je bande pour la deuxième fois de la journée, je me touche, me branle, pas trop fort je jouis vite trop vite, j’attends de voir les choses venir.

Maintenant je suis assis sur Jack, je me suis enfilé sa verge bien au fond de ma chatte, il est heureux et je bouge doucement, me lève, m’assoie, me lève, m’assoie, cette position retient l’éjaculation, Karim se branle devant mon visage.

– Ouvre ta bouche Baby je vais te régaler.

Je l’ouvre en grand continuant mon manège à me lever et à descendre comme sur les chevaux de bois sur le manchon de Jack maintenant allongé sur le lit, je sens encore mieux sont pieu me déchirer le cul il remets lui aussi de temps en temps du gel, Karim approche ma tête de sa queue.

– Aller tire la langue cochonne.

Je lui tends ma langue qui par moment lui touche le gland qu’il masturbe comme un fou.

– Met lui bien dans le fond du cul Jack.

Il s’adresse à mon baiseur qui me besogne comme un taulard, il n’a pas baisé depuis combien de temps ce Jack ?

Un gros jet de sperme vient recouvrir ma langue tendue et il enfonce sa queue plus profond pour que son jus me coule dans la gorge, c’est bon et j’avale avec délectation le nectar, je ne sens plus mon anus complètement défoncé (c’est le cas de le dire). Je me passe le sperme sur les lèvres Karim secoue sa queue contre ma cagoule mettant de la crème de partout, je le termine comme j’aime le faire.

– Viens Jack régale-la de ton sperme aussi, ne le laisse pas ton sperme dans le préservatif, elle aime trop çà cette chienne.

Jack retire sa queue de mon trou, se relève brusquement et se présente devant moi. Je suis dégoulinante, recouverte du sperme de Karim bien comblée de son goÛt intime. J’ai juste le temps d’ouvrir la bouche et tendre ma langue que Jack se soulage dans ma pleine bouche de cochonne et me voilà avec une double ration de foutre, les deux spermes se mélangent, je me branle de plus en plus vite en le suçant, lui vidangeant bien les couilles, je jouis à mon tour le jus coule sur mes bas.

Tous les trois nous nous écroulons sur le lit, crevés de plaisirs.

Mes deux garçons prennent une douche chacun leur tour, puis s’habillent, me donnent leurs participations et me remercient de ma prestation, Jack me regarde.

– Tu es une belle cochonne et j’aimerai te revoir avec des amis qui ne demandent qu’à te connaitre.

– Je suis d’accord mais envoie moi leurs profils par mail.

Karim m’embrasse et s’adressant à Jack :

– J’organiserai pour nous trois ou plus si tu as des amis Jack une autre rencontre avec baby trop bandante cette trav, donnes moi ton phone.

Ils me laissent sur le lit tous les deux quittent la chambre, dès que la porte se referme, je m’étends de tout mon long sur le lit, j’ai encore le goût de leurs spermes dans la gorge et sur mes lèvres. Mon anus, lui est resté bien ouvert, il est 18h, j’entends la pluie, un bon moment de quiétude j’apprécie l’instant, je m’endormirais pour un peu, je me ressaisis et saute dans la douche. Bonne journée de baise non ?

*PS * Je tiens à signaler que je fais pas de pub pour cet hôtel certes bien pratique, mais ne touche aucun chèque de leur direction il doit exister d’autres chaînes du même genre, je n’ai pas tout essayé si vous avez des suggestions laissez les dans les commentaires Merci

Baby-Gine