La femelle 3

Comment Chris me met à l’épreuve

Chris avait bien une idée en tête pour le week-end. Il me voulait à sa totale disposition et je la lui donnai.
– Pascaline, tu vas mettre la robe que je t’ai offerte mais tu gardes tes jolis bas roses. Ils te donnent ce petit air de bimbo qui te va si bien, mais gardes la nuisette et inutile de remettre ton string. Je te veux disponible.
– Bien Chris. Où va-t-on ?
– Surprise !!

La surprise fut que nous nous rendions au bord d’une rivière où se réunissaient des couples échangistes. Il y avait une bonne vingtaine de personnes dont la moitié composé d’hommes. Chris me prit par la taille et m’emmena vers une voiture décapotable où l’on nous servait à boire. Sirotant nos bières, Chris me caressait les fesses tandis que je découvrais cet univers étrange, ma tête blottie au creux de son épaule. La plupart des femmes étaient seins nus et d’autres encore habillées uniquement d’une paire de bas et d’escarpins. Certaines avaient la chatte rasée et prenaient visiblement du plaisir à s’exhiber ainsi.
– Tu vois Pascaline, ici les femmes sont très disponibles… Tu devrais en faire de même.
– Que veux-tu dire par là Chris ?
– Que tu devrais enlever ta robe…
Je le regardai droit dans les yeux et compris qu’il ne plaisantait pas.
– Allez Pascaline, assumes ta féminité. Je suis sûr que tu vas faire un tabac avec tes jolis dessous roses.
– Je n’ose pas.. J’ai peur…
– Tu veux que cela soit moi qui le fasse ? D’accord !
Chris posa sa bière et me prit les épaules pour me dénuder. Il fit descendre doucement ma robe qui se retrouva à mes chevilles. Je n’avais plus qu’à me baisser pour lui remettre la robe dans ses mains, pétrifiée de me retrouver en porte-jarretelles, nuisette et hauts talons en pleine nature où je sentais déjà les regards se poser sur moi.
– C’est bien pascaline. Tu vois c’est pas plus compliqué que cela. Ih ih ih ! Tu devrais aller faire un petit tour, je crois que tu plairais à plus d’une personne… Et tu rendras jalouses certaines femmes içi. Regardes, quelqu’un te fait signe. Vas voir ce qu’il te veut. Je te surveille. Vas !
– Je suis vraiment ta femelle soumise c’est cela hein ? Tu veux me mettre à l’épreuve ? Alors soit !
Et c’est en tortillant des fesses que je marchai devant tous ces inconnus, le cul et attributs à peine dissimulés par le satin de ma nuisette. J’entendis des chuchotements, des regards curieux. Une femme aux seins magnifiques s’approcha de moi pour passer sa main sur mon sexe et retourner vers sa copine pour lui confirmer mon identité. Mais mon appréhension s’accentua quand deux hommes vinrent vers moi. L’un d’eux souleva ma nuisette tandis que l’autre avait déjà glissé sa main entre mes fesses.
– Salut petite salope. Tu m’excites dans ta petite tenue de coquine. Tu aimes sucer ?
– Bonsoir… Euh, je suis avec mon homme…
Et je montrai Chris du doigt. Cela paru les calmer et se retirèrent sans oublier de m’enfoncer un doigt dans mon petit trou. L’homme qui m’avait fait signe était un homme d’une trentaine d’années, grand, musclé et d’origine africaine. Il ne portait qu’un cache-sexe qui laissait deviner un phallus énorme comme la plupart des africains. Il tourna autour de moi comme un lion autour de sa proie, se léchant les lèvres et faisant craquer les jointures de ses doigts. Mon mal aise était évident :
– La petite blanche sent la peur. La petite blanche aime provoquer avec sa tenue de salope. Hummm… Tu as de la chance car j’aime ta petite tenue de pédale et encore plus les petits culs de blanche.
– Merci mais… Je suis avec mon mec…
– Ah ah ah ! Tu crois que ton mec t’a emmené ici pour promener sa jolie blonde ?
– Il veux juste me mettre à l’épreuve…
– L’épreuve ? Ah ah ah ! Tu l’as tout autour de toi l’épreuve !! Il fit signe à Chris et je compris que mon « cher » homme m’avait donné à ce lion indomptable`Je déglutis, impuissant devant cet homme si costaud qui allait m’enculer devant tous ces gens assoiffés de sexe. Il plaqua son sexe entre mes fesses, je le sentais grossir sous le cuir de son string, puis me souleva sans effort pour me déposer sur une table nappée d’un couverture épaisse et moelleuse. Il décrocha son string pour me faire découvrir sa grosse bite noire : « La petite blanche va connaître la vraie queue d’un africain… La petite blanche aimera se faire prendre comme une femme. » J’étais sur le dos et à la vue de se sexe monstrueux. Là, je ramenai les jambes et les écartai pour laisser mon anus tout lisse prêt à être défoncé. Il m’agrippa les cuisses gainées tandis que son gland compressait déjà ma petite rosette. Je sentis la miction de son désir lubrifier l’entrée de ma chatte. Les voyeurs s’approchèrent et je reconnus Chris parmis eux alors qu’une onde de douleur envahit mon cul. Autant mon dépucelage fut du pur plaisir autant ce gourdin m’arracha des larmes de douleur. Son sexe devait bien faire le double d’épaisseur que celui de mon homme. Il me l’a enfoncée d’une traite sous le regard incrédule des spectateurs où je lisais des Oh et des Ah de surprise. Quand il commença à me laminer, je relâchais au maximum mes sphincters pour que sa bite puisse glisser le mieux possible. Je la sentais dans mon ventre taper au fond me faisant trembler mes fesses à chaque coup de buttoir. Mes cris de garce l’incitaient à me bourrer encore plus sauvagement pour le plaisir de tous. Une femme essaya de me branler mais mon sexe ne réagissait pas, alors elle commença à frotter ses seins contre les miens en me parlant comme à une copine : « Comme tu es belle ma coquine, tu aimes la baise hein ? Tu sais plaisir petite garce. Etc. »
Ses gros seins me firent de l’effet. Tandis que mon bourreau me défonçait la chatte, le contact féminin me rassura et je finis par bander, sous les applaudissements du public. La femme s’assit carrément sur moi en me mettant son fessier sur le visage et me branla comme une furie. L’odeur de son intimité opéra comme un détonateur car j’ai joui en même temps qu’elle, où mes cris de plaisir s’étouffèrent dans les replis de son gros cul. Je ne sais pas combien de temps l’africain m’a ramoné, cela m’a paru une éternité. Plus il me limait, plus je partais dans un état second où je n’apercevais que de temps à autre des hommes qui venaient éjaculer sur moi. Quand le lion indomptable finit par répandre sa semence dans mon trou béant, une vague de chaleur me submergea et mon corps fut la proie à des soubresauts insensés. J’avais du foutre en moi, sur mon visage, mon bas ventre, sur ma jolie nuisette devenue poisseuse. Lorsqu’il retira son pieu de mon vagin, mes jambes s’affaissèrent, telles des membres désarticulés d’un marionnettiste délaissant son jouet.

Je sentis que l’on me portait puis un voile noir m’enveloppa.

Je me réveillai le lendemain matin dans le lit de Chris. Il m’avait lavé et me souriait : « Salut Pascaline. »

Proposé par basnylon

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